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PHystorique- Les Portes du Temps
17 août 2020

AUNIS (Pays du Pagus Alnisus, Alienensis, Alniensis).

Vers 1590 Poitou Pictonum, vicinarumque regionum fidissa, descriptio, auctore Petro Rogiero,

Ancien pays de la France, dont la capitale fut d'abord Chatel-Aillon, puis la Rochelle il était compris entre la Sèvre et la Charente borné au Nord par le Poitou, au Sud par le pays de Brouage et la Saintonge, à l'Ouest par l'Océan, à l'Est encore par la Saintonge.

 On a beaucoup discuté sur l'origine de ce nom d'Aunis que l'on rencontre pour la première fois à la fin du VIIIe siècle. L'opinion la plus vraisemblable est celle qui le rapproche du nom de sa capitale: Castrum qui vocatur Allionis (Chatel-Aillon).

Il n'existe en ce pays aucun vestige de l'antiquité ; il était en effet à l'époque romaine presque entièrement submergé et au Xe siècle encore les terrains qui avoisinent la Sèvre et la Charente formaient pour ainsi dire deux bras de mer entre lesquels était resserré le sol calcaire de l'Aunis.

 Occupé sans doute par les Visigoths, il passa avec le reste de l'Aquitaine aux mains des Francs après la bataille de Vouillé (507), fut compris successivement dans le duché puis royaume d'Aquitaine dont il forma un pagus, nom qui lui est resté, car on a toujours dit Pays d'Aunis plutôt qu'Aunis.

 Aux IXe et Xe siècles il comprenait les vigueries de Basse, de Chatel-Aillon et de Saint-Jean-d'Angély. Il semble que, comme la plupart des pagi, il ait eu un moment le titre de comté, mais l'histoire ne connaît aucun comte d'Aunis, et le pays ne tarda pas en effet à relever des comtes du Poitou.

Il eut cependant au XIe et au XIIe siècle des seigneurs particuliers, parmi lesquels nous citerons Eble de Chatel-Aillon, quatre fois excommunié de 1086 à 1097 pour empiétement sur les domaines des moines de Cluny, et son fils Isambert, dépossédé par le comte de Poitiers, Guillaume X (1117) qui fonda la ville de la Rochelle.

Lorsque plus tard Eble de Mauléon et Geoffroi de Rochefort, comme descendants des seigneurs de Chatel-Aillon, rentrèrent en possession d'une partie de leurs domaines, ce fut comme vassaux du comte de Poitiers.

Avec l'Aquitaine le pays d'Aunis devint anglais par le mariage d'Eléonore avec Henri Plantagenet (1152); en 1224 il fut reconquis par Philippe-Auguste.

Bien que compris alors dans le comté de Poitiers donné en apanage à Alphonse, fils de Louis VIII, l'Aunis continua cependant à former une circonscription territoriale nommée communément le Grand fief d'Aunis, administrée par un bailli et désignée aussi par le nom de bailliage d'Aunis, comprise dans la sénéchaussée de Saintonge.

La trêve de 1298 rétrocéda l'Aunis à l'Angleterre le traité de Brétigny lui en confirma la possession.

En 1371, les habitants soulevés chassèrent les Anglais à l'approche de Du Guesclin et l'Aunis fut reconquis par la France. On sait le rôle joué par les villes de la région et notamment par la Rochelle pendant les guerres de religion ce n'est pas ici le lieu de le raconter.

Après la prise de la Rochelle en 1628, l'Aunis forma les deux élections de la Rochelle et de Saint-Jean-d'Angély, comprises d'abord dans la généralité de Poitiers.

  • En 1694, la Rochelle devint le chef-lieu d'une généralité, comprenant, outre les deux élections de l'Aunis, celles de Saintes, de Marennes et de Cognac.

 

Au point de vue militaire, l'Aunis fut un gouvernement général dont le siège était à la Rochelle et qui comprenait avec l'Aunis, les Iles de Ré, d'Oléron et d'Aix, ainsi que le gouvernement particulier de Brouage qui fut plus tard réuni au gouvernement général de Saintonge et d'Angoumois.

 

Au point de vue religieux, l'Aunis, longtemps compris dans le diocèse de Saintes, en fut détaché en 1648 pour être réuni à l'ancien diocèse de Maillezais dont le siège fut alors transféré à la Rochelle.

 

La coutume de l'Aunis rédigée par les trois états du pays fut publiée le 26 sept. 1614. La justice était rendue par le présidial de la Rochelle créé en 1551.

Lors de la Révolution, l'Aunis forma avec la Saintonge le dép. de la Charente-Inférieure.

 

Si l'origine du pagus doit bien être qualifiée d'"obscure", pour reprendre une qualification consacrée par l'usage, les vicairies et plusieurs lieux présentés comme situés dans les vicairies et le pagus peuvent être identifiés sans trop de difficultés. Ces identifications sont acquises, pour l'essentiel, depuis un siècle et demi : c'est en 1845, en effet, que Léon Faye a présenté à la Société des Antiquaires de l'Ouest une étude intitulée "Recherches géographiques sur les vigueries du pays d'Aunis", qui est excellente pour l'époque (14).

Ce juriste a mis au service de la recherche historique une méthode sûre d'investigation ; de plus, résidant à Poitiers, il a pu explorer systématiquement les archives des abbayes, qui n'étaient pas encore publiées, utilisant notamment les copies de la collection Fonteneau et les quelques originaux qui ont traversé les siècles sans trop de dommages. C'est pourquoi, dans sa thèse publiée en 1984, A. Debord a estimé que cette étude "est exhaustive et dispense de commentaire" (15). Il reste cependant quelques détails à revoir et quelques particularités à signaler.

 

Les limites du pagus ne peuvent être précisées, pour la raison que nous avons indiquée.

 

 Au nord, les points extrêmes connus sont un lieu appelé Tregectus, sur la Sèvre (16), Coulon et Bessac (quartier de Niort),

 sur la rive droite du même fleuve, Magné et Saint-Florent sur la rive gauche.

 A l'est, Sansais, Frontenay (Rohan-Rohan) et Rançon (Prin-Deyrançon).

Ensuite on gagne la Boutonne par Doeuil (sur le Mignon) et Saint-Séverin (17). C'est alors que la limite apparaît le plus nettement, la Boutonne séparant Antezant et Saint-Jean d'Angély, d'une part, sur la rive droite, qui sont dans le pagus Alienensis, d'Aulnay, Varaize et Fontenet sur la rive gauche, le premier dans le pagus Pictavensis, les autres in pago Santonensi.

La limite méridionale n'est pas perceptible, l'île d'Albe constituant le seul point connu en direction de la Charente et de la Boutonne. Quant au front ouest, il apparaît constitué par la mer, depuis Esnandes jusqu'à Yves. Dans cet ensemble, la rivière la Guirande, au nord de Frontenay, représente peut-être une limite plus ancienne.==> Golfe de la Sèvre des Pictons, Les seigneurs d’Esnandes - son église Saint-Martin fortifiée

 

On identifie trois vicairies.

La mieux caractérisée est la vicaria Bassiacensis, qui est signalée entre 936 ou 937 et les environs de l'an 1000 ; elle comprend un groupe assez homogène de localités ou de terroirs, aux environs de Niort, notamment Coulon (châtellenie de Benet), Bessac (localité centre), Magné, Saint-Florent, Saint-Symphorien, Sansais et Frontenay.

Les deux autres sont appelées presque constamment vicaria sancti Johannis, donc sans possibilité de distinction. Un seul acte, des environs de 995, qui est relatif à Antezant, précise : in vicaria sancti Joannis Baptistae, c'est-à-dire dans la vicairie de l'église abbatiale d'Angély.

Une vicaria de castro Alloni apparaît dans le même temps, pour un marais côtier dit Agernus, mais elle est signalée un quart de siècle plus tôt, en 968 ou 969, au sujet d'un marais dit de Cougnes ou de Fétilly, sous le nom de vicaria sancti Johannis de Castello Aloni, c'est-à-dire du saint patron de l'église de Châtelaillon.

En d'autres termes, deux des trois vicairies sont présentées comme ayant des églises pour sièges. Il est probable qu'on a confondu les vicairies civiles d'Angély et Châtelaillon avec des vicairies ecclésiastiques constituées dans la dépendance des églises de ces localités.

D'après le pouillé appelé "pancarte de Rochechouart", au début du XIVe siècle quatre archiprêtrés, de Mauzé, de Surgères, de la Rochelle et de Saint-Jean-d'Angély, se partagent un territoire délimité par la Sèvre, l'océan, la Charente et la Boutonne, territoire qui semble correspondre, y compris la portion située au nord de la Sèvre, au pagus Alienensis tel qu'on peut l'entrevoir au Xe siècle (18).

Ce dernier pourrait être ainsi, à la fin de la période carolingienne, une circonscription ecclésiastique préfigurant l'archidiaconé d'Aunis, autant qu'une division administrative dont l'existence n'est pas prouvée.

Les deux premiers archiprêtrés ont pour centres des localités pourvues de châteaux.

Si l'archiprêtre de Surgères n'est désigné que vers 1040 (19), le château du lieu est signalé en 992 (20). L'archiprêtré a dû être constitué par démembrement des vicariae de Châtelaillon et de Saint-Jean-d'Angély.

L'existence du château de Mauzé est suggérée à la date de 1039 par la "chronique de Saint-Maixent" (21); l'archiprêtré semble correspondre, grosso modo, à la vicairie de Bessac, que nous ne connaissons toutefois que comme circonscription civile.

 

La Rochelle a remplacé Châtelaillon comme centre politique et religieux pour une raison bien connue. Quoi qu'il en soit de ces supputations, on remarque que les localités de Bessac, Châtelaillon et Saint-Jean-d'Angély sont dans des positions on ne peut plus excentriques, dans le pagus et dans leur vicaria, ce qui doit s'expliquer non seulement par leur caractère de vici quand elles ont été choisies pour sièges de circonscriptions mais aussi par un faible peuplement dans la partie centrale du pagus.

 

A ces incertitudes se juxtapose cependant une évidence : depuis 934 au moins, le pays dépend des comtes de Poitou qui sont installés dans le pagus et, dans le même temps, aucun personnage connu ne peut être considéré comme chargé d'un commandement dans le même pagus. On a maintes fois cité un acte daté de janvier 934, par lequel le comte de Poitou Eble concède une "aire" pour faire des salines, à Angoulins, à la demande d'un de ses vassaux qui la tenait de lui (22).

Peu après, en janvier 942, l'autorité du comte de Poitou Guillaume Tête d'Etoupe s'exprime à une autre extrémité du pagus : c'est à la demande d'Eble, frère du comte, que le roi Louis IV d'Outremer rétablit la régularité bénédictine dans l'abbaye de Saint-Jean-d'Angély (23).

 Mais c'est Guillaume Fiers-à-Bras qui affirme la domination comtale en donnant ou restituant différents biens à l'abbaye des bords de la Boutonne, notamment à Benon, Muron, l'île d'Albe, Esnandes... , et en concédant à celle de Nouaillé un important alleu à Saint-Sauveur-d'Aunis (24).

Quant à une éventuelle délégation de pouvoir par les comtes de Poitou, le seul cas à examiner est celui d'un Mainard et de son fils Gombaud, qui sont l'un et l'autre qualifiés de vicomtes. Ces personnages se manifestent comme propriétaires et comme souscripteurs, mais rien ne permet de leur attribuer une charge quelconque (25).

Ce ne sont pas des vicomtes des comtes de Poitou ; alors que les trois vicomtes poitevins connus paraissent régulièrement dans l'entourage immédiat des comtes, dont ils souscrivent les actes en bonne place, le plus souvent groupés, c'est dans une foule de quarante-cinq personnes qu'il faut rechercher le vicomte Mainard, à l'occasion d'une importante et solennelle donation de Guillaume Fiers-à-Bras (26).

Si les comtes de Poitou exercent sans conteste leur autorité dans le pagus, les possesseurs identifiables sont surtout des Poitevins.

Ce sont des soldats, comme les vicomtes Aimeri et Arbert de Thouars (27), Chalon d'Aulnay (28) et Acfred de Châtellerault (29), Ebbon de Château-Larcher (30) et son fils Achard (31), et des clercs comme Rothard, abbé de Nouaillé (32).

 Dans les confrontations d'une seule saline d'un marais appelé Scala, on remarque une terre de l'évêque Eble, frère du comte Guillaume Tête d'Etoupe, une autre d'Ebbon de Château-Larcher, une troisième de Launon, qui est connu d'autre part comme archidiacre et abbé de Sainte-Marie de Poitiers [Notre-Dame-la-Grande] (33).

De plus, dans les dernières années du Xe siècle, on identifie comme possesseurs plusieurs habitants de Niort (34).

Les abbayes bénéficiaires des donations sont les abbayes poitevines de Saint-Cyprien, Saint-Maixent, Nouaillé, sans oublier, bien sûr, Saint-Jean d'Angély, la seule communauté monacale importante existant alors dans le pagus, si l'on excepte le lointain monastère de Baignes.

C'est d'ailleurs le cartulaire de Saint-Jean-d'Angély qui réunit les plus nombreux des actes et notices concernant le pagus. Les moines y copient ou y analysent les "chartes" qui font connaître l'origine de leurs biens, en particulier les salines, certaines donations étant même mentionnées deux fois. On trouve aussi dans ce recueil une liste des cens qu'ils perçoivent en muids de sel sur chaque saline et des états comportant localisation, origine et nombre des aires.

 Un de ces états comporte 59 articles pour un total d'environ 4 000 aires, soit en moyenne 68 aires par saline, les plus petites comptant 20 aires, la plus grande 220 (35). Quant aux moines de Nouaillé, pour lesquels notre documentation est fragmentaire en l'absence de tout cartulaire, ils expriment leur intérêt pour le sel en citant les Écritures dans les formules liminaires : "Domino dixisse : Bonum est sal, si autem sal evanuerit, in quo condietur" (36), "Domino dicente in Evangelio : Bonum est sal" (37).

 

Beaucoup de ces salines ont été aménagées dans des terres d'églises.

L'exemple le plus caractéristique est celui de l'église aujourd'hui disparue de Saint-Nazaire d'Angoulins. On a vu qu'en 934 le comte Eble dispose d'une terre salée en ce lieu, qui est dite alors in rem sancti Nazarii.

 

 En octobre 1000, Guillaume le Grand donne l'église à l'abbaye de Bourgueil fondée par  Emma sa mère, en même temps que celle de Saint-Pierre de Maillezais, qui s'est maintenue jusqu'à nos jours (38).

Entre temps, pendant deux tiers de siècle, toutes les salines d'Angoulins, qui sont situées dans plusieurs marais, sont dites in rem sancti Nazarii. Cependant il n'est pas possible d'identifier toutes les églises signalées comme possédant les fonds des salines, faute de connaître l'état ecclésiastique de l'époque ; certains fonds ont pu être la propriété d'églises locales disparues sans laisser de traces dans les archives, d'autres d'églises plus ou moins éloignées (39).

Dans le dernier tiers du Xe siècle, la notion de vicaria circonscription s'estompe :

ainsi la villa de Muron est alors dite in pago Alieninse, in vicaria ipsius pagi (40) et celle de Lozay in pago Alieninse, in vicaria ipsius (41). Vers la fin du même siècle, la villa de Brenier (commune du Bourdet) est localisées in pago Niortinse, in ipsa vicaria (42) et celle de Insgeriacus, in pago et in vicaria Niortinse (43). Il s'agit désormais de la vicaria castri, en l'occurrence du château de Niort.

 

En octobre 1000, les églises d'Angoulins sont présentées dans le pays (ou comté) de Poitou, en terre d'Aunis in pago Pictavensi, in territorio Alniensi (44) ; le terme pagus désigne ici incontestablement le comté.

C'est le temps où un propinquus de la comtesse Emma d’Aquitaine, nommé Eble, est chargé par le comte de Poitou de garder le castellum Alionis, tout proche d'Angoulins.

 

A partir du XIe siècle, les localisations précises se font rares dans les actes; désormais le pagus Alniensis ne sera mentionné que pendant quelques décennies, par tradition. On conservera cependant le mot Aunis, dans des conditions et avec une valeur qu'il conviendrait d'étudier, mais c'est un autre sujet qui n'est certainement pas plus facile à traiter que celui que nous avons abordé.

 

 

 

L'Aunis au Xe siècle. La question du Pagus Alienensis
par Jacques Duguet. Article extrait du site de la Société de Géographie de Rochefort.

La grande encyclopédie : inventaire raisonné des sciences, des lettres et des arts.

Bibl. Le p. ARCÈRE, Histoire de la ville de la Rochelle et du pays d'Aunis; la Rochelle, 1756-1757, 2 vol. in-8 Massiou, Histoire de la Saintonge et de l'Aunis Paris, 1833, 6 vol. in-8. Faye, Recherches géographiques sur les vigueries du pays d'Aunis, dans Mém. de la soc. des Antiq. de l'Ouest, 1845, t. XII, in-8. BARDONNET, le Terrier du grand fief d'Aunis, dans Mèm. de la Soc. des Ant. de l'Ouest, 1874, t. XXXVIII, in-8.

Vers 1590 Poitou Pictonum, vicinarumque regionum fidissa, descriptio, auctore Petro Rogiero,

 

 

 L’Histoire de l'Aunis et de la Saintonge avant l’an mille<==

Géographie du Golfe du Castrum Alionis devenu la cité engloutie de Châtel-aillon   <==

Dénomination géographiques : Civitas, parochia, dioccesis, urbs, municipium, castrum, castellum, vicus, villa, burgus, bastida<==

 

 

 

 



- AHP : Archives Historiques du Poitou (III : cartulaire de Saint-Cyprien de Poitiers; XVI : chartes et documents pour servir à l'histoire de l'abbaye de Saint-Maixent; XXXIX : chartes et documents pour servir à l'histoire de l'abbaye de Charroux; XLIX : chartes de l'abbaye de Nouaillé).
- AHSA XXX et XXXIII : cartulaire de l'abbaye de Saint-Jean-d'Angély.
1. S. Willelmi Pictavorum comitis, 932-936, AHP III 118 p 87; 936, Ibid. 4 p 6...
2. In alio pago [précédemment in pago Pictavo], in comitatu Briosinse, in villa Curbenaco, 992-1014, AHP XLIX 81 p 137; in pago Pictavo, in comitatu Briosinse, in viccaria Metulense, in villa Votallio, 992-1014, Ibid. 85 p 143.
3. AHSA XXX 48 p 76.
4. Ibid. 49 p 77.
5. AHP III 474 p 291.
6. Ibid. 13 p 17-18.
7. AHP XLIX 7 p 11.
8. AHP XVI 5 p 9.
9. AHP XXXIX p 22.
10. AHP XVI 6 p 17.
11. Félix Grat, Jeanne Vielliard, Suzanne Clémencet, avec introduction et notes de Léon Levillain. Société de l'Histoire de France, Paris, Klincsieck, 1964, p 50 et note 2.
12. AHSA XIV p 33.
13. Pour les références de ces pièces, et, d'une façon générale, pour toutes les références qui ne font pas l'objet de notes spéciales, se reporter aux "pièces annexes", en fin d'article.
14. Mémoires de la Société des Antiquaires de l'Ouest, année 1845, p 351-434.
15. A. Debord, La société laïque dans les pays de la Charente, Xe-XIIe s., p 84.
16. AHP III 545 p 324 et note p 438-439.
17. L'église de Saint-Séverin est dite in pago Alniense, in villa quae dicitur Castello Ostendo, dans une charte de Saint-Jean-d'Angély que l'éditeur date des environs de 956 (AHSA XXX p 90). Voir aussi, pour le castellum, A. Debord, op. cit., châteaux 6 p 456 et mottes 64 p 479.
18. "Le diocèse de Saintes depuis le XIVe siècle, d'après le pouillé dit de Rochechouart et autres états"; carte dessinée par soeur Christiane Mathioly, Carmel d'Amiens, sans date.
19. AHP III 474 p 291.
20. AHP XVI 60 p 76.
21. J. Verdon, La chronique de Saint-Maixent, édition "Les Belles Lettres", 1979, p 118-119.
22. AHP III 528 p 318.
23. AHSA XXX 1 p 11.
24. AHP XLIX 74 p 122-125.
25. Pour les possessions et les interventions de Mainard et Gombaud, voir A. Debord, op. cit., p 80-81.
26. AHP XLIX 74 p 122-125.
27. AHSA XXXIII 363 p 27 et 398 p 63.
28. AHP III 459 p 284; AHP XVI 29 p 44 et 31 p 46-47; AHSA XXXIII 361 p 25-26.
29. AHP III 517 p 313.
30. AHP III 401 p 251, 402 p 254, 532 p 320; AHSA XXXIII 380 p 46-47.
31. AHP III 507 p 307, 508 p 308, 521 p 315; AHSA XXXIII 369 p 24.
32. AHP XLIX 51 p 89-90.
33. AHSA XXXIII 402 p 66.
34. AHP XVI 46 p 62-63, 54 p 69-70, 60 p 75-76; AHP XLIX 89 p 151.
35. AHSA XXXIII 365 p 29-31.
36. AHP XLIX p 94 et 134.
37. Ibid. p 105.
38. Besly, Histoire des comtes de Poictou, édition de 1647, preuves p 356-357.
39. On trouvera dans l'annexe 3 les saints patrons des églises locales et des citations qui mentionnent les églises propriétaires des fonds.
40. AHSA XXX 192 p 232.
41. Ibid. 68 p 97.
42. AHP III 556 p 327.
43. Ibid. 554 p 327.

44. Besly, Histoire des comtes de Poictou, édition de 1647, preuves, p 356-357.

 

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