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PHystorique- Les Portes du Temps
18 août 2022

1083 Maillezais Guillaume VIII duc d'Aquitaine fait don de la chapelle du château de Pons à l’abbaye St Florent de Saumur

1083 Maillezais Guillaume VIII duc d'Aquitaine et comte de Poitou fait don de la chapelle du château de Pons à l’abbaye St Florent de Saumur

 Le premier seigneur propriétaire du château de Pons qu'on ait rencontré, jusqu'à présent, dans les archives de cette famille, est Guillelme, vicomte d'Aunay, qui donna, en 1067, du consentement de Cadelon , son fils , à l'abbaye de Saint-Florent de Saumur l'église de Saint-Martin de Pons et la chapelle de la Vierge qui se trouvait au-dessus de la porte du château de cette ville.

 Le donateur dit dans sa charte qu'il a fait cette donation conjointement avec ses vassaux de Pons, et qu'il a voulu qu'elle fût confirmée par ses princes ainsi que par ses compagnons d'armes ou chevaliers.

Ses princes étaient Guy-Geoffroy, comte de Poitiers et duc d'Aquitaine, et Foulques, comte d’Angoulême, dont le vicomte d'Aunay était aussi vassal , parce que Guillelme V, duc d'Aquitaine, avait donné à Guillelme II, comte d'Angoulême, la mouvance de la vicomté d'Aunay.

 Il fit pareillement souscrire la charte de donation par ses vassaux et chevaliers, en tête desquels figurent Renauld de Pons et Guillelme, son neveu.

Il est évident, d'après ce qui précède, que le vicomte d'Aunay avait la pleine propriété et la possession actuelle de la seigneurie de Pons, d'où l'on pourrait conjecturer que la maison de Pons est sortie de quelque branche collatérale de la vicomte d'Aunay.

D'autres prétendent que ce ne sont pas les vicomtes d'Aunay, mais les ducs d'Aquitaine, qui doivent être regardés comme les premiers seigneurs de Pons.

Une charte, à la vérité postérieure de seize ans à celle du vicomte d'Aunay mentionnée plus haut, semble établir, en effet, que la seigneurie de Pons appartenait primitivement aux ducs d'Aquitaine comme comtes de Saintonge.

Il y est dit que Guy, comte de Poitou et duc d'Aquitaine, donna aux religieux de Saint-Florent de Saumur la chapelle du château de Pons avec toutes ses dépendances.

 

 

Le cénotaphe de Guillaume VIII d’Aquitaine dans l’église Saint-Jean-de-Montierneuf à Poitiers

 

Auctoramentum Willelmi vicecomitis Odenaci, de ecclesia Sancti Martini de Ponde ; anno 1067

Deo percipienda remissione, coenobitis Sanctis Florentii Salmurensibus perpetualiter habendam concessi ecclesiam Sancti Martini de Ponte, et decimas atque terras et vicariam et omnem consuetudinem quae ad eam pertinent ; capellam quoque beatissime Mariae que est supra portam pontis scilicet castri.

Signum Goderanni, episcopi Sanctonicae civitatis.

Signum Willelmi, episcopi Engolismensis.

Signum Willelmi, comitis Pictavensis. (Guy-Geoffroy, qui prit, comme comte de Poitou, le nom de Guillaume VI)

Signum Fulconis, comitis Engolismensis. (Foulques Taillefer 1047-1087, fils de Geoffroi Taillefer,   marié à Condoha de Vegena.)

Signum Willelmi vicecomitis, hujus elemonsine largitoris

Signum Cadelonis ejus filii, haec munera pia devotione annuentis.

 

Par un pardon à recevoir de Dieu, j'ai accordé à l'église de San Martin de Pons, et les dîmes et les terres et le presbytère et toutes les coutumes qui s'y rapportent, d'être détenus à perpétuité par les cénobites de Saint Florent de Saumur,  aussi la chapelle de la très sainte Marie, qui est au-dessus de la porte du pont du château. (Chartes saintongeaises de Saint-Florent-de-Saumur, p. 36)

Il fait sans doute partie des fiefs tenus par Foulques Nerra, le comte d´Anjou en Saintonge.

Il s´agit probablement de la chapelle Sainte-Marie située sur la porte du château et donnée en 1067 par Guillaume, vicomte d´Aulnay, aux moines de Saint-Florent près de Saumur, avec l´église Saint-Martin de Pons.

 

Capellano sancti Salvatoris de Ponte, la chapelle de Saint-Sauveur-de-Pons, en Saintonge, situé au cœur de la ville-haute, dans le centre historique, cet édifice était situé à l'est du château médiéval.

 

Juin 1083, un jeudi. Chartes-notices de la donation faite (sur la route de Maillezais à Fontenay, en Bas-Poitou) par le comte de Poitou, duc d'Aquitaine, à l'abbé Guillaume et aux moines de Saint-Florent de Saumur, de la chapelle du château de Pons, avec ses dépendances, telle que le susdit duc la possédait, en alleu même, quand ledit château était occupé par Geoffroi Martel, comte d'Anjou.

Parmi les témoins sont le vicomte de Thouars, Savari, et son frère Raoul, Hugues de Surgères ainsi qu'Anségise, abbé de Saint-Maixent, instigateur de la donation.

Le peigne de celui-ci, après avoir servi de gage pour l'investiture donnée aux moines, fut envoyé par eux à leur abbaye de Saint-Florent.

 

Donum comitis Pictavensis, anno 1083, mense junio.

Notum fieri successoribus volumus et universe posteritati, litterarum auctoritate, mandare quoniam Guido, comes Pictavensis et dux Aquitaniae, multorum religiosorum mediante consilio, pro evitando presentis mundi naufragio et adispiscendo eternae vitae remedio, Deo ac pio confessori Florentio, necnon abbati Guillelmo et ejus monachis, capellam Sancti Salvatoris castelli videlicet quod Pons dicitur, que etiam de ure ecclesie Beati Martini esse dinoscitur, liberam et quietam, Domino inspirante, donavit.

 Fuerat siquidem suprascripta capella alodus, ab antiquo, prefati comitis, et quieta possessio nullam ab aliquo perturbationem suscipiens, nec etiam cum Gaufridus Martellus, Andegavorum comes, predictum tenuisset castellum.

Eapropter jam dictam aecclesiam prenominato abbati Guillelmo Sancti Florentii, in presentia Ansegisi abbatis Sancti Maxentis, necnon Adhemari monachi, et Beringerii ejusdem comitis capellani, quorum consilio et hortatu prefatam aecclesiam jam dicto abbati Guillelmo, cum pectine Ansegisi abbatis, donaverat, libere et quiete possidere precepit.

Actum hoc ab incarnatione Domini [anno] MLXXXIII°, mense junio, feria quinta, in via que est inter Malliacense monasterium et Fontanetum, castrum Savarici vicecomitis.

Pluresque affuerunt, tam monachi quam clerici necnon laïci predictus abbas Guillelmus Sancti Florentii, Ansegisus abbas Sancti Maxentii, Stephanus monachus, Ademarus monachus, Albaldus monachus, Beringerius capellanus comitis, Hugo de Surgeriis, Savaricus vicecomes, Radulfus frater ejus. (Livre Blanc, fol 99.)

Notum sit successoribus nostris quod Guido, comes Pictavensis, donavit Sancto Florentio et ejus monachis capellam castelli quod Pons dicitur, cum omnibus ad eam pertinentibus : ita libere et quiete ut ipsa cappella alodus ejus ab antiquo fuerit, utque ipse, etiam cum, Gaufridus Martellus castellum predictum teneret, eam possederat.

Ita inquam donavit et per Albaldum, ejusdem Sancti monachum, donum abbati et monachis in capitulum transmisit : scilicet pectinem Ansegisi, abbatis Sancti Maxentii, cujus consilio et hortatu donationem illam fecit.

Actum est hoc anno ab incarnatione Domini MLXXXIII°, mense junio, feria v°, in via quae est inter Malliacense monasterium et Fontanetum, castrum Savarici vicecomitis.

Pluresque affuerunt, tam monachi quam clerici vel laici : Ansegisus abbas (1) Stephanus Scurol monachus, Ademarus monachus, Albaldus monachus, Berengerius capellanus comitis, Hugo de Surgeriis, Savaricus vicecomes, Radulfus frater ejus.

(Original, Livre Noir, fol. 84 vo, et Livre Blanc, fol. 99 vo.)

 

 

 

 

1083 Maillezais Don du Guy Geoffroy comte de Poitou

Nous souhaitons être connus de nos successeurs et de toute la postérité, par l'autorité des lettres, pour ordonner à Guido, comte de Poitou et duc d'Aquitaine, par le conseil de nombreux religieux, d'éviter le naufrage actuel du monde et de chercher le remède de la vie éternelle, à Dieu et au pieux confesseur Florentius, ainsi qu'à l'abbé Guillaume et ses moines, la chapelle du château Saint-Sauveur, c'est-à-dire appelée le Pont, qui est aussi connue pour être l'église du Bienheureux Martin, libre et tranquille, par l'inspiration du Seigneur, il a donné.

En effet, la chapelle susmentionnée avait été en la possession dudit comte d'autrefois, et avait été une possession tranquille, ne recevant aucune perturbation de personne, pas même lorsque Geoffrey Martel, comte des Angevins, avait tenu le château susmentionné.

En conséquence, il avait donné ladite église à l'abbé Guillaume de Saint Florent, en présence de l'abbé d'Ansegis, Saint Maixent, ainsi que du moine Adhémar, et du même comte de Beringerius, aumônier, par les conseils et les encouragements desquels il avait donné ladite église à l'abbé Guillaume, avec le peigne de l'abbé d'Ansegis, et lui avait ordonné de la posséder librement et tranquillement. .

Cet acte a eu lieu depuis l'incarnation du Seigneur [en l'an] 1083, au mois de juin, le jeudi, sur la route entre le monastère de Maillezais et  le château de Fontenay du vicomte de Savari.

Beaucoup étaient présents, moines et clercs, ainsi que des laïcs, le susdit abbé Guillaume de Saint Florent, Ansegisus abbé de Saint Maixent, Stephen le moine, Ademarus le moine, Albaldus le moine, Beringerius l'aumônier du comte, Hugues de Surgères, Savary le vicomte, Raoul son frère.

Que l'on sache à nos successeurs que Guido, comte de Poitou, a donné à Saint Florent et à ses moines la chapelle du château qui s'appelle Pons, avec tout ce qui lui appartient : si librement et tranquillement que la chapelle elle-même a été sa louange des temps anciens, et que lui, même avec Geoffrey Martel, le château qu'il détiendrait susdit, il l'avait possédée.

Ainsi donna-t-il, et par l'intermédiaire d'Albaldus, moine du même saint, il transmit le don à l'abbé et aux moines du chapitre : à savoir, le peigne d'Ansegis, l'abbé de saint Maixent, sur les conseils et les encouragements desquels il fit ce don. .

Elle eut lieu cette année depuis l'incarnation du Seigneur 1083, au mois de juin, le 5ème jour, sur la route entre le monastère de Maillzais et le château de Fontenay du vicomte Savary.

Beaucoup d'autres étaient présents, tant des moines que des clercs ou des laïcs : Ansegisus l'abbé (1) Stephanus Scurol le moine, Ademarus le moine, Albaldus le moine, Berengerius l'aumônier du comte, Hugues de Surgères, Savary le vicomte, Raoul son frère.

 

 Le texte de l’Historia pontificum en 1160 fait état de la destruction de la tour de Geoffroy par le duc d’Aquitaine Guillaume X, avant 1136.

L’arasement du donjon et de ses annexes est sans doute à mettre en parallèle avec ce récit.

Les évêques de Saintes et d’Angoulême ayant obtenu l’autorisation de le reconstruire, le donjon actuel prend place sur l’ancien, même s’il semble qu’il n’ait pas tardé à souffrir de nouveaux dommages en 1178-1179 par Richard Cœur de Lion cette fois-ci, qui, en réponse à la rébellion des seigneurs aquitains, assiège la ville de Pons.

Moins de 10 ans plus tard le château est reconstruit en 1186, un nouveau donjon se dresse à plus de 30 mètres de haut, toujours visible aujourd’hui

 

4 janvier 1186 ou 1187. Bulle d'Urbain III, nommant l'archevêque de Tours, ainsi que les évêques de Poitiers et d'Angers, juges du nouveau procès intenté aux moines de Saint-Florent par les chanoines de Saintes, pour les églises de Saint-Vivien et de Saint-Sauveur de Pons.

 L'affaire avait été portée devant le pape Alexandre III, qui avait prononcé son jugement et l'avait notifié par la délivrance d'une bulle. Irrité de voir l'insolence des chanoines porter atteinte aux décisions de son prédécesseur, le pape ordonne aux susdits prélats de vérifier les faits ci-dessus. Après en avoir constaté l'exactitude, ils devront, nonobstant appel, procéder à l'excommunication des chanoines de Saintes et de tous autres récalcitrants qui empêchent l'abbaye de Saint-Florent de jouir en paix de la susdite sentence apostolique (XXIV).

 

 Hélie Rudel de Pons, 1er du nom, chevalier, sire de Pons, de Bergerac, de Gensac, de Montignac, etc., mort vers 1290.

On le trouve, en 1275, permettant par sa charte du 5 mars aux abbés et religieux de La Frénade, d'acquérir dans le territoire de Pons, et aux environs de cette ville, jusqu'à 20 livres de rente, en franche-aumône, à la condition qu'ils prieront Dieu pour le salut de l'âme de son père Renaud de Pons. (Archives de Pons; charte perdue).

Par acte du mois d'août 1277, il obtint de Hugues Le Brun, comte de La Marche, son beau-frère, la reconnaissance d'une dette de 500 livres de rente, que feu Hugues XII de La Marche et d'Angoulême, et Jeanne de Fougères, ses père et mère, avaient assignées en dot à Hélie Rudel, seigneur de Pons et de Montignac, lors de son mariage avec Yolande de la Marche (2).

Hugues Le Brun promit d'assigner ces 500 livres, — il devait 1.200 livres d'arrérages, — savoir 100 livres sur la châtellenie de Bouteville et 400 livres sur celle de Fougères, au jugement de Pierre Fabre, prêtre, et de Jean de Montaville, chevalier, ses fondés de pouvoir. (Archives de Pons ; charte perdue).

En 1283, il était fait mandement au bailli du Cotentin de l'aire jouir Hélie Rudel de 400 livrées de terre (ne faut-il pas lire: 400 livres de rente.), qui lui avaient été assignées par ordre du roi, du chef de sa femme, sur la terre de Fougères (Olim, il, fJ 68, recto; n° 2494, de la publication de Boutaric).

Le pape Nicolas III, par une bulle de l'an II de son pontificat, l'exempta, pour cinq années, de l'excommunication et interdit ecclésiastique sur sa personne et sur ses biens. (Archives de Pons ; original perdu).

Hélie Rudel eut des démêlés avec le roi d'Angleterre.

Le roi de France intervint alors comme suzerain ; il nomma d'abord comme commissaires Geoffroi, archidiacre de Saintonge, et Guillaume de Châtellerault, prieur de Sainte-Radégonde de Poitiers. Mais ceux-ci avaient été nommés, d'autre part, pour examiner les affaires de Pierre, comte d'Alençon et de Blois.

Philippe le Hardi, par lettre du 27 novembre 1282, leur substitua l'archevêque de Tours, qui, par un mandement en date du 3 décembre, ajourna par-devant lui à Pons Hélie Rudel et le sénéchal du roi d'Angleterre, au 16 décembre 1282.

Hélie Rudel avait fait construire un oratoire dans son château de Pons.

 On intervint pour que les droits de la paroisse Saint-Sauveur, dont relevait le château, ne fussent pas atteints.

 A cette occasion, le sire de Pons déclara, dans un acte public, en présence de Geoffroi, évêque de Saintes, et Jean Pelastros, curé de Saint-Sauveur, ne vouloir en rien préjudiciel aux droits de cette dernière église.

Il ajouta d'ailleurs a 5 sols de rente, que sa tante Germaine avait légués à l'église Saint-Sauveur, un don de 35 sols de rente qu'il assit sur un moulin appelé le Moulin neuf; il y ajouta le don de toutes les oblations qui se feraient dans son oratoire, aux quatre fêles annuelles, baptêmes et autres solennités.

Il s'engagea enfin à se faire représenter aux offices de Saint-Sauveur par une personne compétente, pendant tout le temps où il ferait sa résidence à Pons.

Hélie Rudel fait hommage à l'abbé de Charroux en 1272 (3).

Aux testaments, il faut ajouter un codicille du lundi après l'ascension 1281, par lequel il ordonna que son testament serait exécuté à l'exception de ce qui concernait sa sépulture qu'il voulait être faite chez les frères mineurs de Pons, et en habit de frère, quelque jour qu'il puisse mourir; ordonnant néanmoins que, s'il mourait en lieux éloignés, son corps, ses os et son cœur seraient apportés chez les frères mineurs de Pons, et ses entrailles enterrées chez les frères mineurs les plus proches du lieu où il mourrait.

Le testament visé était scellé des sceaux du chapitre de Saintes, le doyenné étant vacant, de ceux de l'archidiacre de Saintes, des abbés de La Frénade et de Taunay, du prieur des frères prêcheurs, du gardien des frères mineurs, du prieur de l'aumônerie neuve de Pons.

Son premier testament est antérieur au 26 mai 1281 (4) et le dernier est daté du 20 août 1290. Il décède peu après, à peine âgé de quarante ans ; le 8 septembre suivant, il est déclaré « de bonne mémoire » (5). Sa veuve est vivante le 29 août 1314 (6).

Rainaut, seul enfant mâle d'Hélie Rudel, est mineur au décès de son père qui lui assigne des tuteurs (7). Il fait son testament le 18 septembre 1305 (8) et meurt bientôt, à trente ans environ, car le 25 septembre 1306 le sénéchal de Gascogne restitue à sa veuve Isabelle de Lévis, tutrice de ses enfants Hélie Rudel et Jeanne de Pons, ses biens mis en la main du roi Edouard Ier à son décès (9).

Isabelle de Lévis fait hommage au roi de France en juillet 1308 en qualité de tutrice (10).

 

 

  

Foire du bourg de l'Hôpital Neuf à Pons :

— Le 1er janvier 1287, Hélie Rudel, seigneur de Pons et de Montignac, définit les droits de juridiction du seigneur de Pons et du prieur de l'Hôpital Neuf, sur la foire que ses ancêtres ont accordée à l'Hôpital Neuf dans le « bourg » de cet établissement.

Cette foire se tenait chaque année le dimanche après l'Assomption et elle se tient alors le jour de l'exaltation de la Sainte Croix. Le sergent laïc qui portera la bourse du prieur et des frères pour percevoir leurs droits de « vente » portera également la bourse du seigneur pour percevoir son droit de « vente » sur les ânes. (Archives Hist. Saintonge et Aunis, tome IX, 1881, pp. 45-47.)

Armes :  D’argent, à la fasce bandée d’or et de gueules.

 

 

 

La domination au Moyen-Age des comtes d’Anjou en Saintonge. (Geoffroy Grisegonelle, Foulques Nerra, Geoffroy Martel) <==

==> La forêt de Chizé au Moyen-Age ; 1086 mort de Guy-Geoffroy-Guillaume VIII d'Aquitaine

==> Les seigneurs d’Aulnay et son église

Savary de Thouars, Vicomte de Fontenay - La fontaine des Illustres (Place Viète). <==

L’ancien hôpital des Pèlerins de Pons <==

 

 

 


 

(1). Dans le Livre Noir, tous les noms sont au génitif et précédés du mot signum

(2) D'après Courcelles, les futurs époux ont obtenu du pape Clément IV, le 8 juin 1267, une dispense pour consanguinité au quatrième degré (p. 26). Le fait est signalé sans référence mais la consanguinité à ce degré est exacte, comme on peut le constater sur notre tableau généalogique : elle remonte à Hugues IX de Lusignan et Mathilde d'Angoulême.

 

(3) DEPOIN, Chronologie des évêques de Saintes, p. 33 du tiré à part ; d'après Dom FONTENEAU. XXXVIII, 43.

 (4) Il fait un codicille à cette date. Arch. hist. de la Saintonge et de l’Aunis, tome XXI, p. 25, note 1.

(5) Ibid., p. 45-46. Vidimus en date du 8 septembre 1290 du testament date du 20 août 1290.

(6) lbid.. p. 78-80 ; n° xxxn.

(7) lbid., p. 48-49.

(8) Ibid., p. 59-65 ; n° xxi.

(9) TRABUT-CUSSAC, op. cit., p. 393, note 28.

(10) Arch. hist. de la Saintonge et de l'Aunis, tome III, p. 348-350.

 

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