Archéologie -10 juillet 2023, Visite du chantier de fouilles du Vieux Château de Gençay.
C'est une des ruines féodales les plus importantes que possède le département de la Vienne.
Placé comme une sentinelle avancée à la frontière du Poitou et de la Marche, situé au sommet d'une colline au pied de laquelle la Clouère et la Belle viennent confondre leurs eaux, il domine encore à une grande hauteur tout le pays environnant de ses puissantes tours et de ses sombres murailles.
Il avait été, au XIe et au XIIe siècle, le théâtre de luttes très vives entre les comtes de Poitou et les premiers comtes de la Marche.
Une chronique dit qu'il fut bâti à la fin du Xe siècle par Guillaume le Grand, comte de Poitou, mais pris, repris, démantelé, il fut rebâti sans doute.
Aldebert, comte du Périgord, et Boson, son frère, comte de la Marche, surprirent « castrum Gentiacum dicitun» et le ruinèrent en 993.
Guillaume le Grand le rétablit, et Aldebert, étant venu l'assiéger de nouveau en 997, périt dans le combat...
Boson, frère d'Aldebert, reçut de la générosité de Guillaume le château de Gençay; mais bientôt après, s'étant révolté contre son bienfaiteur, il fut battu a Gençay, puis à Rochemeau près Charroux, où il fut tué et enterré en 1010.
==> Chronologie Historique des Comtes de la MARCHE - Liste des comtes de la Marche
Almodis, sa veuve y devint comtesse du Poitou en épousant Guillaume.
En 1018 ce château fut surpris par Hugues IV de Lusignan qui le démantela.
Les constructions actuelles ne remontent pas au- delà de la fin du XIIe siècle; certaines parties doivent même descendre au XIIIe.
Le silence des documents sur son histoire au XIIIe siècle laisse dans l'inconnu le nom de celui qui l'a reconstruit tel que nous le voyons.
Gençay appartenait alors aux Rancon, ennemis des rois Plantagenets et passa ensuite vers 1270, aux seigneurs de l'Isle-Bouchard.
Ces indications insuffisantes ne laissent donc plus la parole qu'aux pierres qui, sans pouvoir nommer le fondateur de ce château, proclament assez clairement son âge approximatif.
Note sur une trouvaille de monnaies baronnales [des XIIe et XIIIe siècles faite à Gençay, en 1885].
Bull. de la Société des antiquaires de l'Ouest, 2e série, t. IV (1886-88). p. 521-524.
Dans le courant du moins d’octobre 1885, le sieur Martin, ouvrier maçon à Gençay, avait entrepris de faire un mur de soutènement en pierre sèches dans des terrains recouverts de démolitions, proche d’une galerie voûtée, dépendant de l’ancien château, allant de celui-ci à l’église. En enlevant des déblais pour établir les fondations, à un mètre environ de profondeur, il s’aperçut que les terres contiennent des pièces de monnaie. Il en avait, par ses travaux, déjà dispersé une certaine quantité quand il eut l’idée de se livrer à une recherche, et dans une superficie d’environ deux pieds il ramassa environs 300 pièces de billon mélangées avec des ossements humains. Il remarqua qu’il n’y avait pas toutefois de traces de sépulture et que les monnaies étaient toutes réunies dans un espace restreint, leur dispersion dans les terres provenant de son travail de terrassement.
Une centaine environ, d’après ses suppositions, ont pu lui échapper ; trois ont été présentées à des amateurs de Poitiers, les autres, au nombre de 296, ont été remises par lui au R. P. de la Croix, lequel s’est transporté à Gençay pour recueillir des détails certains sur la découverte.
M. Penchaud, chef de division à la préfecture, qui a bien voulu mettre une fois de plus ses connaissances numismatiques à la disposition de la Société des Antiquaires de l’Ouest, a dressé la liste ci-jointe du contenu de la trouvaille :
« J’ai examiné pièce par pièce, dit-il, et avec le plus grand soin toutes les monnaies composant le petit trésor trouve aux environs de Gençay.
Les pièces, au nombre de 296, dont 286 deniers et 10 oboles, sont généralement mal conservées et très usées ; elles ont longtemps circulé avant d’avoir été déposées dans la terre, je n’ai trouvé aucune pièces inédite, ou même rare, sauf une. On ne verra figurer dans la nomenclature ci-jointe aucune pièce essentiellement royale, ce qui démontre que ce dépôt a dû être confié à la terre avant l’année 1226, date de l’évènement de Louis IX au trône.
PENTHIEVRE, Etienne 1er, 1093-1198.
Stephan. Com. Croix pattée couronnée d’une étoile au 1er et au 2e. pl ; Guigamp. Profil barbare- Poye-d’Avant, nos 1440 et suiv., pl. 27, nos 3 et suiv. ; types et modules variés. Divers degrés de conservation, quelques-uns très usé et rognés….60 p.
ANJOU. Foulques V, 1109-1129.
+ FULCO COMES. Croix cantonnée de l’alpha et de l’oméga. Pl : + URVS AIDECCSV. Monogramme.- nos 1498 et suiv. ; deniers pour la plupart frustres…..48 p.
TURENNE (vicomtes de) . Raymond III, 1190-1212.- Raymond IV, 1212-1243.
+ RAIMONDUS, ps renversée. Croix cantonnée d’un annelet aux 2e et 3e pl : + DE TURENA. Dans le champ deux O cruciformes et deux croisettes formant la croix. Deniers très beau. J’attribue ces pièces à Raymond IV.- N) 2331, pl.52, n°1…….24 p.
Obole au même type. Poey d’Avant, qui reproduit cette pièce, n° 1449, dit que celle qu’il publie est le seul exemplaire connu jusqu’à ce jour, pl. 27, n°11.
NEVERS (comtes de). Hervé de Donzy, 1199-1223.
+ ERVIS CONS croix. Pl : NIVERSCIS. Faucille au-dessous un lis.- N°2138, pl. 46, n°20. Denier beaux……54 p.
GIEN (comtes de) .
+ GOSEDUS COS. Croix cantonnée aux 2° et 3° d’un clou et d’un coin, dégénérescence de l’alpha et de l’oméga. Pl : + GIEMIS CA. Monogramme renversé de Foulques d’Anjou. L’o du monogramme remplacé par une croisette. Deniers de divers degrés de conservation. N° 1998, pl. 52, n° 21……………33 p.
MARCHE (comtes de la). Hugues X, 1208-1219.
+ VGO COMES. Ps renversée. Croix. Pl : + MARCHIE. Annelet, deux annelets et deux croissants ; au centre une croisette. –N° 2611, pl. 56, n° 4. Denier…….. 1 p.
+ VGO COMES. Croix. Pl : MARCHIE. Même type.- N° 2612. Deniers bien conservés ……25 p.
DEOLS CHATEAUROUX (seigneurs de). Philippe-Auguste, 1187-1188-1195.
+ REX PILIPUS. L’s renversée. Croix. Pl + DEDOLIS. L’s renversée. Etoile à 6 pointes, au centre un annelet.- N° 1957, pl. 51, n° 14.
Denier mal conservé…………….1 p.
+ REX FILIPUS. L’s renversée. Croix. Pl. Mêmes légendes et types.- n° 1956, pl. 51, n°13. Deniers de divers degrés de conservation. 4 p.
Raoul IV, V ou VI. 1160.
RADULFUS. L’s renversée. Croix. Ps +DEDOLIS. L’s renversée. Etoile à cinq pointes, pesant au centre. Deniers mal consercés. N° 1947……………6 p.
AQUITAINE (ducs d’). Richard Cœur de Lion.
RICARDUS en deux lignes ; au-dessus une croisette, au-dessous l’oméga. Pl : + AQUITAINE. Croix.- n° 2760. Deniers………2 p.- Même légendes et types. N° 2761. Oboles………… 6p.
POITOU (comtes de). Richard Cœur de Lion, 1169-1196
+ RICARDUS REX. Croix cantonnée au 4e d’un annelet. Pl ; PICTAVIENSIS en 3 lignes.- N° 2547, denier mal conservé……..1 p.
+RICARDUS REX croix sans cantonnement. Pl Mêmes légende et type.- N° 2505, pl. 4, n° 16. Deniers mal conservés…………4 p.
ABBES DE SAINT-MARTIAL
S. MARTIAL. Tête barbue de face. Pl : + LEMOVICENSIS. Croix perlée et cantonnée de huit annelets, deux par deux.- N° 2291, pl. 1, n° 16. Deniers……………..3 p.
PRIEURS DE SOUVIGNY
SCS MAIOLUS. Buste de face portant la crosse à droite. Pl +SILVINIACO. Croix dont les extrémités sont coupées carrément.- N° 2166.
Deniers…………… 4 p.
BRETAGNE (comte de Nantes). Geoffroi, 1156-1158.
+ GAUFRIDUS. Croix patté et ornée au milieu, un annelet avec un point au centre. Pl : +DUX BRITANI. Fleur ressemblant à une fleur de lis cantonnée de 4 annelets- N° 271, pl. 9, n° 18. Deniers très usé…………1 p.
ANGOULEME (comte d’)
+ LODOICUS. Croix, ps : EGOLISIME. Trois annelets et un croissant au 1er formant la croix ; au centre une croisette. – N° 2663, pl. 57, n°6. Denier assez beau………………1 p.
VENDOME (comtes de)
+ VINDOCINO. Croix. Pl : Type vendômois, rosace au centre ; rosette à 6 branches entre deux annelets devant la tête ; à droite une fleur de lis.- N° 1783, pl. 36, n° 3. Obole assez belle…………. 1 p.
SAINT-MARTIN DE TOURS (abbés de)
SCS MARTINUS. Châtel tournois. Ps : + TURONUS CIVI. Croix. Deniers de la dernière période mal conservés.- Nos 1637 et suiv…………..8 p.
BOURGOGNE (ducs de). Hugues VI, 1218-1272.
+ VGO DUX BURG : DIE Double roquet, au-dessus besant, dessous annelet. Ps + DIVIONENSIS Croix. Deniers, conservation passable. 4 p.
« Poye d’avant, t. III, p. 199, n° 5677, attribue ces pièces à Hugues V qui a occupé le duché de 1305 à 1315.
Je croirais plutôt qu’elles ont été frappées par Hugues VI, attendu que ce petit trésor, presque tout composé de pièces antérieures au XIIIe siècle, ne contenait aucune monnaie royale, aucune pièce d’Alphonse de Poitou, d’Hugues XI comte de la Marche, de Jena duc de Bretagne, de Charles premier d’Anjou, de Guy de Nevers, etc, qui certainement n’auraient pas manqué de s’y trouver si le dépôt avait eu lieu sous Hugues V, c’est-à-dire de 1305 à 1315 ».
Monnaies frustes : 2 deniers et obole. 3 p.
RESUME :
Penthièvre | 61 | Report | 271 | |
Anjou | 48 | |||
Turenne | 24 | Limoges | 3 | |
Nevers | 54 | Souvigny | 4 | |
Gien | 33 | Bretagne | 1 | |
Marche | 26 | Angoulême | 1 | |
Deols-Châteauroux | 5 | Vendôme | 1 | |
id, | 6 | Bourgogne | 4 | |
Aquitaine | 9 | Tours | 8 | |
Poitou | 5 | Frusies | 3 | |
A reporter | 271 | Total | 296 |
Il est difficile de déterminer d’une façon plus précise que ne l’a fait M. Penchaud la date de l’enfouissement de ces pièces ; elle se place entre 1218 et 1272.
Il est de plus certain qu’elles ne faisaient pas partie d’un trésor caché intentionnellement ; elles devaient se trouver dans la bourse d’une personne avec qui elles ont été enfouies accidentellement, ainsi qu’en témoigne l’enduit gras qui les recouvrait et qu’il a été difficile d’enlever.
Leur possesseur a dû succomber pendant un de ces attaques à mains armées auxquelles le château de Gençay a été souvent en butte, particulièrement pendant la période indiquée par les plus récentes de nos pièces ; alors il appartenant à Geoffroy de Rancon, seigneurs de Taillebourg, vassal d’Hugues de Lusignan, et qui fut constamment en lutte avec ce seigneur dont il avait reçus de graves affronts.
A. RICHARD.
Le plan de la forteresse forme un triangle irrégulier aux angles s'élèvent d'énormes tours rondes, percées d'étroites archères et garnies de mâchicoulis. Les courtines étaient soutenues par deux tours carrées, qui sont complètement écroulées.
On accédait à l'intérieur par un pont-levis qui franchissait les larges fossés creusés du côté du plateau.
L'entrée était protégée par quatre tours avancées entre lesquelles il fallait s'engager pour arriver à la porte en tiers-point fermée de doubles herses.
Une autre porte, donnant sur la vallée, était défendue par une barbacane et commandée en outre par une des grosses tours, carrées.
On montait sur une des courtines par un escalier droit pris sur l'épaisseur de la muraille qui est de 3m50.
Trois hautes et belles tours cylindriques placées aux trois extrémités de ce triangle, se dressent avec majesté au-dessus de pentes abruptes qui augmentent leur force.
De grandes courtines aussi imposantes les relient. L'appareil de toutes ces murailles est d'une grande régularité et exécuté avec soin.
La porte voûtée en tiers point s'ouvre du côté de la ville, entre deux tours saillantes.
Les tours rondes sont divisées en deux étages, contiennent des salles voûtées d'ogives avec des nervures à arêtes abattues, qui reposent sur des consoles sans ornements.
On ne peut s'empêcher de constater leur grande ressemblance avec les salles du château Salbart.
L'air et la lumière ne pénétraient que par l'étroite ouverture des meurtrières.
Les bâtiments d'habitation paraissent avoir existé du côté de la porte principale, car on aperçoit à droite de cette porte deux fenêtres en tiers-point ouvertes dans les courtines à une grande hauteur du sol.
Une place aussi forte était imprenable, avant l'invention de l'artillerie, sinon par la famine ou par une surprise.
Ce château joua un rôle dans plusieurs épisodes de la guerre de Cent ans et des guerres de religion.
Une curieuse description du château de Gençay en 1484 démontre qu'il n'a guère changé depuis son origine :
« Le mardi VIIIe du moys de juign mil IIIIc IIIIxx et quatre, nous sommes ce transportez au lieu de Gençay, auquel lieu nous avons convocqué et appelle honnorables hommes et saiges maistre Guillaume Cousin, juge chastellain, Guillaume Rondeau, procureur, Pierre Bouiresse, receveur, Thomas Rasay, escuyer, lieutenant, Laurens Rodet, par cy devant recteur, Guillaume Bouet, forestier du dict lieu, et autres, par le rapport desquelx nous avons trouvé et veu avoir au dict lieu de Gençay ung chastel de grant et sumptueux édiffice, fort et de grant deffence, basty en triangle, et à chascun des troys coingz une grosse tour ayant en chascune d'icelles troys voltes de pierre et à viz en chascune d'icelles.
Aussi est au devant du dict chastel le pont levys, la porterie et ung portal garny de deux tours, et au dessus d'icelles, en chascune, ung pavillon volté avecques arseaux de piarre en façon de pavillon, auprès duquel portal et d'ung des coustez d'iceluy a troys salles, deux l'une sur l'autre; et l'autre a joignant de celle du dessus, ung garde robbe entre deux, et dessoubz icelle salle ung grant selier à mectre vin, et entre la salle basse et le dict sellier ung garde robbe, et de l'autre cousté, ou dessoubz de la tour joignant du selier, basse fousse à tenir prisonniers, qui est voltée, et par dessus icelle une chambre voltée.
Aussi a à l'entrée dudict chastel, au près la porterie, une tournelle en la quelle a aussi une basse fousse qui est voltée, et au devant du dict grant selier une muraille ou fondiz ? et ou dessoubz d'icelle une cave en roc, et auprès d'icelle une petite tournelle ou dessus de laquelle a une prison.
Aussi a ou dedans du dict chastel, contre muraille d'iceluy, de l'autre cousté du dict portal, ung apantiz bien grant et spacieux, et en iceluy sont contenuz une cuysine, le garde-manger, deux fours, ung grant et ung petit.
Aussi y a grandes et spacieuses estables pour loger seze ou dix huit chevaulx.
Et ou dessus sont les grenyers, le fenils et deux chambres en l'une desquelles a chemynée.
Et au dedans d'iceluy chasteau a ung beau puys et ung petit moulin à blé pour tourner à bras en l'une des dictes tours, et auprès d'icelle dicte tour une faulce porte pour sortir et descendre du chastel en la basse court, près la rivière de Coloure (la Clouère).
Laquelle place et chastel est mal couverte tant les dictes troys tours que les dictz apendiz, ouquel sont les estables, fenilz, grenyers.
Et au regart de la couverture des dictes salles elles sont assez bien couvertes.
Et touchant les dictes troys tours et portai sont baillées à couvrir, et une d'icelles dictes tours est bastie par le dessus tout neuf et presque couverte, et la muraille par dessus soubz la plateforme a esté refaicte toute neufve de quatre ou cinq piez de haulteur.
Et au regart des ustancilles du dict chastel ne si trouve que six grosses arbalestes de passe sans noix, deux tours ou martinez, l'un sans poullies, six coulevrynes, deux canons et ung courtault pour la deffence du dict chastel.
Aussy y sont les fousséz à font de cuve ou devant du dict chastel, et de l'autre cousté, la rivière, et autour du dict chastel et entre iceluy et la ville une petite garenne à congnilz de petite valleur, et n'y a aucuns clappiers.
La ville du dict lieu de Gençay n'est anciennement cloze ne fermée, et l'a esté anciennement comme il appert, et y est la halle grant et spacieuse, en lace quelle se tiennent les foyres et marchéz, et y est l'auditoyre pour tenir la jurisdicion... »
Chartrier de Thouars, ms. Louis I de La Trémoille ; succession et partages.
Puis il fut délaissé peu à peu et abandonné définitivement, au commencement du XVIIe siècle, par Jean de Bueil, grand échanson de France, baron de Gençay, qui s'établit à 1200 mètres de là dans la somptueuse résidence de la Roche-de-Gençay, plus en rapport avec les goûts de l'époque.
A la Révolution, le château est confisqué par l’Etat qui le redonnera au seigneur Millon de La Roche.
De 1796 à 1832, la prison de Gençay occupera les deux niveaux d’une des tours.
En 1830, propriété de la veuve du notaire Gallois, le château connaît bien des vissicitudes : il devient une carrière de pierres jusqu’en 1855, malgré le classement du site en 1840, par Prosper Mérimée.
Note sur une trouvaille de monnaies baronnales [des XIIe et XIIIe siècles faite à Gençay, en octobre 1885].
Note sur une trouvaille de monnaies baronnales à Gençay, en octobre 1885. [On y remarque des monnaies des vicomtes de Turenne, des comtes de la Marche, de Richard, duc d'Aquitaine, et de Saint-Martial de Limoges.
La date de l'enfouissement se place entre 1248 et 1272.] Bull. de la Société des antiquaires de l'Ouest, 2e série, t. IV (1886-88), p. 321-524.
Bibliographie Indicateur archéol. de l'arrondissement de Civray par A. Brouillet, 1865.
Essai de classification chronologique des châteaux féodaux de Poitou, du XIe au XIIIe siècle : mémoire lu au Congrès des sociétés savantes / par M. Bélisaire Ledain
Congrès archéologique de France : séances générales tenues ... par la Société française pour la conservation des monuments historiques
==> Prosper Mérimée, l’Inventaire du Poitou et de son patrimoine roman