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PHystorique- Les Portes du Temps
20 janvier 2024

1105 Cour de Poitiers : Traité entre Hugues de Lusignan et les religieux de Saint Maixent

1105 Cour de Poitiers Guillaume IX le Troubadour 

— L'évêque de Poitiers, Pierre II et autres personnages notables, Robert d'Abriselle ;  Baudrie, abbé de Bourgeuil se portent témoins d'un traité intervenu entre Hugues de Lusignan, dit le Vieux, et les religieux de Saint-Maixent

 

 

……………………(1) il a également fait envahir la maison de son client Aschonis, qui se trouvait dans la cour de Pamprou.

Comme nous l'avons dit, ce compte doit donc être considéré comme un compte ferme.

Et si, par hasard, Hugues lui-même (2) ou l'un de ses héritiers osait agir contre cela, il serait perpétuellement frappé de la malédiction de l’anathème

S. Léger, archevêque de Bourges. Il avait donné à Robert Robert d'Arbrissel dont il était proche, la forêt de Gros-Bois et le village d'Orsan.

S. Guillaume IX le Troubadour (1086-1126), duc d’Aquitaine, comte de Poitiers et de Gascogne.

Évêque de Saint-Pierre. Doyen de Saint-Americus. S. Hervé l'archidiacre. S. Pierre l'archidiacre.

S. Marquer, abbé de Montiersneuf. S. Garnier, abbé de Sainte-Marie. S. Guillaume, maître des écoles.

S. Henri, abbé de Saint-Jean d’Angély..

S. Baudrie, abbé de Bourgeuil.

 S. Robert d'Abriselle.

S. Hugues de Duerio.

S. Gislebert, Sénéchal.

Fait l'année de l'Incarnation du Seigneur quinze cent cinquième, pacte 22, acte d'accusation 12 (3), Pape Pascal, Philippe roi des Francs, Pierre évêque de Poitiers, Guillaume duc d'Aquitaine.

 

 

« Anno ab Incarnatione Domini 1105, Ugo de Leziniaco fecit placitum cum abbate et monachis S. Maxentii, cui subscribunt viri insignes scilicet. Baudricus, abbas Burguliensis. » (Gallia christiana, II, Instr., 343, E.)

 

(D. FONTENEAU, t.XV, p.505, d'après le cartul., p. 264. ll en donne aussi un extrait, t. LXVI, p.93).

……………………(1) domum etiam sui clientis Aschonis, que in curte de Pampro fuerat, obruere fecit.

Hoc itaque, sicut dictum est, firmum ratum habeatur. Et si forte vel ipse Hugo (2) vel ali­quis heredum suorum contra hoc facere presumpserit, per­petue maledictionis anathemate ferietur.

S.Leodegarii Bitu­ricensis archiepiscopi.

S. Willelmi Aquitanorum ducis.

S. Petri episcopi. S. Aimerici decani. S. Hervei archidiaconi. S. Petri archidiaconi. S. Marquerii abbatis Novi Monaste­rii. S. Garnerii abbatis sanctae Mariae. S. Willelmi magistri scolarum, S. Henrici abbatis sancti Johannis Engeriaci. S. Baudrici abbatis Buguliensis. S. Rotberti de Abrisello. S. Hugonis de Duerio. S. Gisleberti dapiferi.

 Facta anno ab Incarnatione Domini rnillesimo centesimo quinto, epacta XXII, indictione XII (3), papa Pascali, Philippe rege Franco­rum, Petro episcopo Pictavorum, Willelmo duce Aquitanorum.

 

 

 

FONTEVRAULD l’ABBAYE La Crosse abbatiale et le Bâton du Bienheureux Robert - Pierre II, Évêque de Poitiers.

Abbaye de Fontevrault, Chef-d'Ordre. Robert d'Arbrissel a fondé cette abbaye en 1100, elle a été approuvée par Paschal II, en 1106 et 1107.

Fons-Ebraldi (Fontevraud) caput sui Ordinis sub Regula S. Benedicti, dicecesis Pictaviensis ; institutor et conditor anno 1100 Robertus de Arbrissello. Ab hoc cœnobio plurima dependent monasteria ; situm est in Pictavio et in Andium confinibus, una leuca à Monsoreau versus meridiem, de eo Annal. Francorum ad ann. 538, p. 857 (Clef du Pouillé).

Abbatia Fontis-Ebraldi caput sui ordinis (Fontevrault chef de l'ordre) O. S. A. , taxe de Rome 10,000 florins ; rev., 100,000 l. (P. Royal).

Elle jouit de très-grands priviléges et a eu quatorze princesses pour abbesses dont cinq de la maison royale de Bourbon ; c'est du consentement de Pierre II, Évêque de Poitiers, que cette abbaye a été fondée.

Gilbert de la Porée, 54e Évêque de Poitiers, en a été un des bienfaiteurs. Coll. le Roi (P. 1782).

 

La ville d'Angers conserve précieusement, dans les collections de l'un de ses musées (4), une crosse magnifique dont la présence et l'intérêt n'avaient pas échappé à Férudit observateur qu'était M. le Chanoine Brune (5).

 « Cette crosse, écrivait-il (6), est incrustée d'émail bleu. Comme dans beaucoup d'autres crosses du même temps, le milieu du crochet renferme un Saint Michel perçant un dragon. » (7)

Cette description intéressante, mais trop brève, peut être facilement complétée. M. Godard-Faultrier s'est chargé de le faire en publiant un article sur les Crosses (8) du Musée Saint-Jean d'Angers. (9)

« Cette crosse en cuivre doré, avec émaux champlevés se compose d'une volute, d'une pommette et d'une douille, le tout haut de 0m 32 (10).

L'émail de la volute est bleu et losangé. Elle présente un serpent mordant l'extrémité des ailes de Saint Michel qui donne un coup de lance à un dragon bipède. La pommette, en cuivre doré, est égayée d'animaux fantastiques. Quant à la douille, elle est émaillée de bleu et ornée d'élégants rinceaux dorés. Enfin, seize crochets de cuivre ornent extérieurement la crête de la volute. »

Cette pièce d'orfèvrerie religieuse a rallié les suffrages et conquis l'admiration des artistes.

Mais sur l'attribution qui a été faite de cette crosse au fondateur de Fontevrault les avis sont partagés. Il convient même de dire, en toute vérité, que le très grand nombre des auteurs refuse de regarder ce bâton pastoral comme ayant appartenu au Bienheureux Robert.

Il est sûr, tout d'abord, que cette crosse provient de Fontevrault. M. Derrien, ingénieur des Ponts et Chaussées, écrivait en 1814 à M. de Tocqueville, préfet de Maine-et-Loire :

 « La crosse et le bâton de Robert d'Arbrissel furent trouvés au commencement de l'administration de M. Bourdon de Vatry, 6 Thermidor, an XIII (11), à l'époque où l'on vendit les marbres de la maison de Fontevrault. La capsule, en plomb, qui renfermait les cendres du B. Robert était sous le maître-autel de l'église principale, et dans son tombeau, à côté du bâton et de la crosse. Ce dernier objet excita l'envie des ouvriers qui démolissaient le tombeau ils le prirent pour de l'or. Il fut coupé en deux parties et retiré de leurs mains. Il a été réparé depuis par les soins de M. Normand, ingénieur à la résidence de Saumur. »

« D'après la teneur de cette lettre, conclut M. Godard Faultrier (12) il est incontestable que cette crosse provient de Fontevrault. Mais est-il certain qu'elle servit au Bienheureux Robert ? Le doute est permis. »

Au témoignage de Baudry, en effet, Robert d'Arbrissel ne voulut jamais porter le titre ni les insignes de la dignité abbatiale (13).

D'où il suit que si cette belle crosse ne fut point à l'usage de Robert, on peut admettre que de pieuses mains l'aient, à titre d'honneur, déposée plus tard dans sa tombe.

Deux témoignages viennent, à première vue, confirmer cette opinion.

Nous savons, en effet, qu'au moment des funérailles, Pétronille de Chemillé, répondant à l'invitation de Léger, archevêque de Bourges, fit revêtir des insignes de la dignité abbatiale le corps du Bienheureux.

De plus, lorsqu'en 1622, sur l'ordre de Louise de Bourbon, le tombeau primitif fut ouvert, Michel Cosnier nous dit « qu'on trouva dans le sépulcre un morceau de bâton pastoral, un anneau, un morceau d'étoile de soie qui, au toucher, se réduisit en cendres. »

La crosse conservée au Musée d'Angers est entière. Elle n'est donc pas celle dont Cosnier constata la présence dans le mausolée élevé par Pétronille de Chemillé.

 De plus cette œuvre d'art porte tous les caractères de la fin du XIIe siècle, et Robert d'Arbrissel fut enterré en 1116.

Il faut donc conclure que cette crosse n'a pas appartenu au B. Robert. Elle dut être retirée du tombeau d'un des prélats inhumés dans l'église abbatiale, non loin du Fondateur de Fontevrault.

Elle fut peut-être le-bâton pastoral avec lequel le bienheureux évêque de Poitiers, Pierre II, avait été enseveli.

Le tombeau de ce célèbre prélat fut nécessairement transféré – lorsque l'abbesse Louise de Bourbon fit changer l'emplacement du maître-autel – ainsi qu'un document d'une authenticité indiscutable nous en apporte la preuve.

Ce sépulcre, primitivement voisin de celui de Robert d'Arbrissel, avait été creusé à côté du maître-autel de l'église abbatiale.

Or, en 1710, des érudits (14) décrivent ainsi ce mausolée dans le célèbre ouvrage intitulé Voyage littéraire de deux religieux Bénédictins de la Congrégation de.Sint-Maur :

 « L'église est assez belle. On y voit à côté de l'autel le tombeau de Robert d'Arbrissel, et dans le tour des chapelles, celui de Pierre, évêque de Poitiers, sur lequel on voit des prêtres représentés avec leurs étoles pendantes, comme les portent aujourd'hui les curés aux enterrements et aux processions (15). »

On trouva sans doute un bâton pastoral dans le tombeau de l'évêque. Cette crosse fut placée à côté de la capse qui contenait, mêlées aux cendres de Robert, les reliques du prélat vénéré, lui aussi, par la piété populaire.

Cette hypothèse semble beaucoup plus vraisemblable que « la pure conjecture » par laquelle M. Godard-Faultrier terminait, en 1861, sa dissertation sur ce sujet « : Quoi qu'il en soit, il peut se faire que par déférence pour le B. Robert d'Arbrissel on n'ait déposé cette crosse dans son tombeau qu'un demi-siècle après sa mort. »

Il y a là, formulée par le savant auteur, une simple hypothèse qui suppose, pour être acceptable, que le tombeau élevé par Pétronille de Chemillé fut ouvert avant 1622. Pas un document ne mentionne ce fait et il est bien difficile d'admettre cette thèse, alors qu'aucune preuve n'est apportée pour la justifier.

En même temps que les reliques de leur fondateur, les Fontevristes de Chemillé avaient sollicité « la remise des objets qui lui avaient appartenu. »

La crosse trouvée près de la dépouille mortelle de Robert d'Arbrissel ne leur fut pas rendue. Mais on leur permit de garder le bâton abbatial qui l'accompagnait.

Plusieurs auteurs ont décrit cet objet remarquable par son antiquité indiscutable et les souvenirs qu'il évoque.

« Ce bâton abbatial, dit Célestin Port (16), est en bois de chêne, la pointe garnie de cuivre à pans taillés et divisée par deux boules d'inégale grosseur. La tête est formée de trois morceaux de cristal de roche en forme de T ou potence. C'est une œuvre contemporaine de Robert que les religieuses, d'après une tradition assez invraisemblable, prétendent lui avoir servi, soit à la Roë, soit à Fontevraud (17). »

Un dessin d'Ad. Joyau reproduisant ce bâton accompagne un article de M. Godard-Faultrier (18) remarquable par son exactitude et son érudition. « Ce bâton, dit le savant auteur, par sa forme et par son style, est conforme en tout point à l'époque du Bienheureux (19).

Tel était, au XIIe siècle, le bâton abbatial. Il différait de la crosse épiscopale contournée en volute (20). »

Un coutumier rédigé sous le gouvernement de Madame Gabrielle de Rochechouart de Mortemart, 33e abbesse, fournit l'indication suivante 24 février, fête de Robert d'Arbrissel. On y porte le bâton miraculeux de Notre B. Père (21)

L'abbé Edouard nous apprend que, de nos jours encore, le bâton abbatial du fondateur de Fontevrault est porté en procession par les religieuses de Chemillé « dans les calamités publiques (22). »

En même temps que le bâton abbatial du B. Robert, le reliquaire de cuivre argenté, placé jadis par le Père Lardier, à son retour d'Orsan, dans la petite église de Saint-Jean-de-l'Habit, prit le chemin de Chemillé.

Il n'avait pas été profané pendant la Révolution.

Le 30 avril 1790, le maire de Fontevrault avait fait au monastère des hommes une visite domiciliaire. Dans l'inventaire dressé à cette occasion, le magistrat municipal signala, parmi les objets mobiliers qui garnissaient l'église :

 « une châsse contenant le cœur du B. Robert, fondateur, que l'on croit d'argent (sic) (23). »

 Comment ce reliquaire échappât-il à la fureur des vandales ? A quelle époque et par qui fut-il rapporté à l'abbaye ? Autant de questions auxquelles j'aurais été heureux de donner une réponse. Je ne puis le faire, les documents sollicités n'étant pas venus. On peut, à certaines heures, redire tristement avec Montaigne : « Plus et mieux aurois-je faict, si tous m'avaient aydé qui ont papiers au coffre. »

 

 

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(1). D. Fonteneau, en signalant l'absence du commencement de­ cette charte, ajoute qu'il a relevé, sur le cartulaire, cette indication mise par une main moderne : hic desunt 12 cartae. Il a alors recouru à l'ancienne table du cartulaire, dans laquelle il a trouvé les deux mentions suivantes : Carta. CLXXXVII, de placito Ugonis Leziniaci et filiorum ejus. - Carta CLXXXVIII, item de plactlo eodem carta episcopi et carta testium. Cette dernière cote est évidemment celle de la pièce que nous publions sous ce n° CCIX.

(2). 1l s'agit d'Hugues de Lusignan, mari d'Hildéarde, père d'Hu­gues et de Rorgon.

(3). L'indiction et l'épacte se rapportent à 1104 et non à 1105.

(4) Cf. Congrès archéologique de France, XXXVIIIe session, Angers, 1871, p. 24. Voir également le Catalogue du Musée d'Angers (2° édition, 1884), n° 1849 Crosse en cuivre émaillé, improprement dite de Robert d'Arbrissel. XIIe- XIIIe siècle, trouvée à Fontevrault en l'an XIII. »

 Je signale, à titre de curiosité, la présence au même musée d'une crosse « improprement dite de Pétronille de Chemillé. Provient aussi de Fontevrault. »

(5) Professeur au Grand Séminaire de Rennes, chanoine titulaire, président de la Société archéologique d'Ille-et-Vilaine.

(6) Archéologie religieuse, p. 155, Rennes, Vatar, 1846.

(7) Au cours d'une séance, le 13 mars 1922, M. Desmazières de Séchelles présenta aux membres de la Société Archéologique d'Ille-etVilaine une magnifique reproduction en couleurs de cette crosse. Cette copie fut exécutée, d'après nature, par M. Hervé de Séchelles, ancien élève de l'Ecole des Beaux-Arts, mort pour la France.

(8) L'auteur décrit aussi la crosse dite de Pétronille. Ces deux crosses ont figuré à Paris, aux expositions de 1867 et de 1889. Elles étaient alors inscrites sous le numéro 421 dans l’Inventaire du Musée d’antiquités d’Angers, 1er édit., 1868.

(9) Revue de l'Anjou, 1891.

(10)  L'abbé EDOUARD, loc. Cit., I. p. 38. complète ainsi cette description :

« Une petite galerie se trouve au bas de la volute. Elle est ornée de feuilles d'acanthe en cuivre doré, placées la pointe en haut. La pomme est à jour. De petites perles brillent dans les yeux de 1’Archange. »

(11) 24 Février 1804.

(12) Répertoire archéologique de l'Anjou, 1861, p. 218.

(13) Act. Sanct.., III Feb. p.598.

(14) Dom Martène et Dom Durand.

(15) Cf. Anjou historique, mars-avril 1907, p. 460. Coïncidence curieuse Pierre de Poitiers, inspiré évidemment par l'exemple de son ami Robert d'Arbrissel, donna son corps à Fontevrault et son cœur à l'abbaye Saint-Cyprien de Poitiers.

(16) Loc. cit., 1, p. 128.

(17) L'abbé Angot incline à voir en ce bâton un objet à l'usage de Robert d'Arbrissel, pendant son abbatiat à la Roë. Cf. Diction. de la Mayenne, p. 59. Mgr Barbier de Montault avait soutenu antérieurement cette thèse, ainsi que M. Godard-Faultrier.

(18) Rep. archéol. de l'Anjou, 1861, p. 28 et seq.

(19) Voici la description que donne de cet insigne abbatial un auteur de l'époque, Honorius Augustodunensis, dans son livre intitulé Gemma animae, I, p. 209 : Hic baculus ex osse et ligno conficitur, cristallina vel deaurata spherulu conjungitur, superno capite insignitur, in extremo ferro acuitur.

L'auteur de ces lignes. Honoré d'Autun, mourut, selon les auteurs de la France littéraire sous le pontificat d'Innocent II (1130-1143). Sa biographie est entourée de mystère. Cf. Dom GOUGAUD, Etude sur la réclusion religieuse, p. 17, et deux ouvrages de Von Kelle et de ENDRES.

(20) D'autres auteurs ont savamment parlé de ces bâtons à l'usage des abbés. Cf. Didron, Annales archéologiques, X, p. 177 et seq. P. MARTIN, Mélanges d’archéologie, III, p.8. Bulletin du Comité de la langue, de l'histoire et des arts de la France, 1857. p. 518 et seq. Le Guide du visiteur, publié par la direction du Musée des Antiquités de la Seine-Intérieure, Rouen, 1923, p. 24, fig. 30 et 30 bis, reproduit un tau en ivoire sculpté, du XIIe siècle, provenant de l'abbaye de Jumièges.

(21) Ce coutumier rédigé de 1870 à 1701 fut remis en ordre par Madame Julie-Sophie-Gillette de Pardaillan d'Antin, 37e abbesse, en 1775. Les religieuses de Chemillé en possèdent un exemplaire.

(22) Loc. cit., I, p. 142.

(23) Anjou historique, juillet 1903 juillet et août 1905.

 


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