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PHystorique- Les Portes du Temps
27 décembre 2020

La Roche sur Yon, ville impériale, la Statue équestre de Napoléon Ier - Jean-François Merlet Préfet de la Vendée

Jean-François Merlet (dit baron Merlet) Préfet de la Vendée 15 janvier 1801 - 12 février 1809 La Roche sur Yon, ville impériale, la Statue équestre de Napoléon Ier

La Roche sur Yon, nom de la bourgade ancienne qui devient Chef-lieu de Vendée par décret impérial du 5 Prairial an XII (25 mai 1804)

 

Jean-François Merlet (dit baron Merlet)

Lorsque Napoléon prétendit annexer moralement à la France la Vendée, vaincue, écrasée, ruinée- on peut bien dire détruite lorsqu'il voulut en même temps relever les églises et les maisons et conquérir les âmes rebelles, il ne se, tint pas à la pacification, au Concordat, à des mesures constamment équitables et nuancées avec une science profonde des hommes, il estima que rien ne serait fait tant qu'au centre même de la Vendée militaire il n'aurait point érigé la cité administrative, siège de toutes les autorités civiles et militaires, ville neuve, œuvre de sa volonté et de son génie, camp retranché au besoin, base d'opérations pour la- civilisation française.

Pour cela, il fallait enlever à Fontenay-le-Peuple qui en avait été mis en possession, malgré les protestations de Luçon et des Sables, le siège de l'administration départementale Fontenay est la seule ville où les chefs de l'administration puissent trouver des agréments, des aises, une vie civilisée.

Tant pis pour eux Le Premier Consul examinant soigneusement la carte a déterminé le point précis où la ville sera construite.

C'est sur l'emplacement d'une bourgade, La Roche-sur-Yon, une ruine.

Durant la guerre, elle a subi deux assauts et un incendie. Les habitants, ceux qui avaient réussi à échapper aux balles des Blancs et des Bleus, s'étaient sauvés et se cachaient dans les bois. Quand ils s'étaient hasardés à revenir, ils étaient si découragés et si las qu'ils n'avaient point eu la pensée de rebâtir des maisons et, entre des murs calcinés, ils s'étaient abrités sous des toits de fortune.

Pas une maison où l'on pût convenablement installer une administration, un bureau, une famille. Pourtant, comme la ville n'existera que du jour où les autorités y seront réunies avec tous leurs services, ordre est donné qu'on s'y transporte sans tarder.

Sur place, le préfet se débrouillera, nécessité fera vertu et l'on verra les édifices s'élever, sur arrêtés administratifs, mieux qu'aux accents de la lyre d'Amphion.

M. Emile Gabory, le savant archiviste de la Loire-Inférieure, qu'un long séjour en Vendée a familiarisé avec ses archives, a rendu un compte remarquable de l'œuvre accomplie par Napoléon (Napoléon et la Vendée, i vol. in-:S°, chez Perrin).

 Obligé à une condensation extrême des faits, il n'a pu s'étendre sur les personnages autant qu'il l'eût souhaité et pourtant ne méritent-ils pas d'être mis en quelque relief, ceux qui, sous la main de fer de César, durent accomplir personnellement non sans se plaindre, non sans tenter de se dérober le dur labeur, pareils en tous points à des soldats en campagne, avec leurs cantonnements et leurs vivres de fortune, les épidémies et les périls renouvelés, soldats de la paix, soldats de la grande œuvre de réconciliation nationale, ouvriers de l'avenir.

Le préfet, M. Jean-François-Honoré Merlet, un jour, une heure, avait tenu entre ses mains le sort de la France, rien moins !

 

II est né le 26 septembre 1761 à Martigné-Briand (Maine-et-Loire), et son père se qualifiait sieur de La Boulaie sans avoir, qu'on sache, de prétention à noblesse après des études de droit à Angers, il s'était établi avocat à Saumur, lorsque la Révolution le sortit de l'obscurité.

    Marié le 1er février 1785 à Saumur, en l'église Notre-Dame-de-Nantilly, avec Marie Magdeleine Clément (1764 - 1828), dont : Marie Eugénie (1785 - 1876) ; Caroline (1794 - 1879) ; Jean Jacques (1796 - 1851) ; Camille (1799 - 1841)

 

 

 Il rédigea, paraît-il, ou contribua à rédiger les cahiers du Tiers et, à ce qu'il assure, fut nommé suppléant à l'Assemblée constituante.

Ceci est douteux, l'unique suppléant pour le Tiers dans la sénéchaussée de Saumur ayant été Ragonneau, avocat fiscal du duché de Richelieu. Mais il fut bien mieux : major de la garde nationale de Saumur et conseiller municipal, puis, en 1790, procureur syndic du district, ce qui l'autorisa à dire qu'il fut « nommé à une des premières places de l'administration dans le département de Maine-et-Loire, sa patrie ».

 Aussi fut-il élu le 8 septembre 1791 député à l'Assemblée législative le troisième sur onze, par 331 voix sur 663 inscrits et 470 votants. Il siégea à gauche, se fit l'avocat des nègres, réclama l'abolition de la traite et la suppression des congrégations séculières, les régulières n'existant plus.

Il fut élu vice-président le 27 juillet et président le 7 août. Le 10, il était au fauteuil. « Il avait été choisi, écrivit-il sous la Restauration, par une majorité qui voulait maintenir la monarchie, mais qui ne put résister aux factieux qui la renversèrent. » « M.. Merlet- c'est lui qui parle présida l'assemblée jusqu'au moment où les factieux et les révoltés demandèrent la déchéance du Roi. N'ayant pas voulu la prononcer, M. Merlet fut exclu, persécuté et proscrit pendant tout le régime de la république. » Au vrai, il céda le fauteuil à Vergniaud de fort bonne grâce, et pourtant, s'il avait refusé de l'associer au coup d’Etat dont la Gironde avait cru profiter que fût-il arrivé ? On l'eût tué ? Qui sait ? La populace, en prairial, n'a pas tué Boissy d'Anglas. Une âme forte impose parfois aux assassins, et puis, si l’on succombe, on entre dans l'immortalité. Simoneau, le maire d'Etampes, est allé droit au Panthéon.

Merlet n'était point de cette trempe. Non élu à la Convention, il rentra à Saumur. On ne sait trop ce qu'il devint alors. « Tantôt il dit qu'il fit les campagnes de 1793 et proscrit ou retiré depuis cette époque jusqu'au 18 brumaire tantôt, il n’a dû son salut qu'au lieu de retraite qu'il avait choisi : la Vendée militaire ou la rive gauche de la Loire pendant toute la guerre civile, il n’a pas quitté cette contrée. »

Assurément, car, après le neuf thermidor, il reprit à Saumur son métier d'avocat. Au Dix-huit brumaire, il fut conquis dès le premier jour par Bonaparte et il offrit ses services.

Il fut membre du conseil général de Maine-et-Loire et le 9 frimaire an IX, « le citoyen Merlet, ex-membre de 1 Assemblée législative, fut nommé préfet du département de la Vendée ».

Il arriva à Fontenay-le-Peuple le 25 nivôse et s'empressa, en envoyant son serment, d'annoncer « qu’il allait se livrer avec zèle aux travaux multiplies et importants que sa place lui imposait ».

 Il s'y livra, en effet, et, quoi qu'il eût débute par la manière forte, il devint très rapidement un de ces préfets modèles dont le moule fut brisé en 1870, mais qui, du moins, pendant soixante-dix années, avaient porté au plus haut degré de considération cette administration « que l'Europe nous enviait ». Cette envie-là est passée.

Seulement M. Merlet savait ce qu'il valait |un des rares préfets qui eussent été, le 14 juin 1804 (25 prairial an XII), honorés de la cravate : le commandant de la Légion, il ne consentait déployer son dévouement et à seconder la vues de l'Empereur relativement à la Roche-sur-Yon, que moyennant la promesse formelle d'un avancement prochain, et il s'attirait du ministre de l'intérieur, Chaptal, une des lettres les plus belles qu'aient écrites les prédécesseurs de M. Renoult à la place Beauvau.

 « Vous administrez, disait Chaptal, un département considérable par son étendue, riche en territoire et en contrebutions, intéressant par les malheurs qu'il a soufferts, digne de toute l'attention du gouvernement par les dissensions qui y ont pris naissance, par les étincelles que nos ennemis y cherchent sous les cendres dont ils l'ont couvert. Vous y avez tranquillisé les esprits, fait respecter les lois, aimer le gouvernement vous y êtes honoré et chéri. Pour récompense de vos succès, vous demandez une grande préfecture, mais à quel département convient mieux cette expression qu'à la préfecture de la Vendée ? En quel lieu la sagesse et le talent ont-ils plus d'occasion de se développer ? »

Il concluait: « Il ne nie point que vous n'ayez à faire quelques sacrifices, et Sa Majesté saura les apprécier. Veuillez bien vous reposer sur moi du soin de les faire valoir. Si elle juge à propos de donner à quelques préfets le titre de conseiller d'Etat, je lui rappellerai avec intérêt vos droits et vos vœux, mais je vous suis personnellement trop attaché et je suis trop satisfait de votre administration pour proposera l'Empereur de vous appeler à une autre préfecture que celle où vous avez encore tant de bien à faire et de considération à acquérir. »

Quelque peu ragaillardi par ces assurances, Merlet vint prendre possession, le 1er fructidor an XII (19 août 1i804), des baraques en torchis qui servaient ci-devant à la gendarmerie et qui durent abriter les bureaux les chefs de division reçurent l'hospitalité du curé, les directeurs des administrations furent campés dans des granges ou d'anciennes écuries lui-même s'établit dans quelques chambres à peu près intacts du château de la Brossardière, incendié par les colonnes infernales.

On déploya pour la circonstance, toutes les pompes civiles, militaires et religieuses que pouvait comporter la misère des temps. Il y eut discours aux fonctionnaires, distribution d'un guidon à la gendarmerie, Te Deum solennel.

La nouvelle ville reçut, par arrêté préfectoral du 28 août, le nom de Napoléon. Mais ce magnifique baptême ne lui porta pas chance.

L’Empereur, fidèle à ses classifications chargea MM. les ingénieurs des ponts et chaussées de tracer les plans et de bâtir les édifices. Et ils prouvèrent, moyennant ce chef-d'oeuvre, leur goût artistique, leur talent pour manier les deniers publics, et leur étonnante aptitude à gâter les paysages. Ils réussirent à souhait.

Durant que Merlet s'évertuait à construire sa cité morale, ils s'ingénièrent à produire leur cité mathématique, moyennant beaucoup d'argent car 1’église coûta un million, l'hôtel de ville et les prisons 750,000 francs quatre maisons pour les autorités, 227,000 francs, etc., et les casernes sept à huit fois autant.

Tout cela était laid et mal bâti en 1808, lorsque l’Empereur visita sa ville, et qu'il arriva aux casernes provisoires, il appela l'ingénieur en chef Cormier Tirant du fourreau son épée il l'enfonça jusqu'à la garde dans le mur en pisé et il dit :

« J'ai répandu l'or à pleines mains pour édifier des palais vous avez construit une ville de boue. Où sont les fonds que vous avez reçus? Vous êtes indigne de conserver votre poste. »

La faute n'était point à Cormier, mais au système, à l'éducation, au sens de la laideur que développent naturellement certaines études. Le génie civil, le génie militaire et 1e génie, tout court, ça fait trois.

Le développement de Napoléon ne suffisait pas à Merlet ; et l'on eût pu croire que cet honnête homme était quelque peu un persécuté.

Le 15 avril 1806, il écrivait de nouveau au ministre une lettre après tant d'autres pour lui exposer que « son honneur et sa réputation, qu'il mettait au-dessus de tout, lui commandaient impérieusement de demander son changement de poste ».

Le bruit de sa promotion au Conseil d'Etat, s'étant répandu dans le département, il avait reçu les félicitations de presque tous les fonctionnaires. « Je me suis hâté, écrit-il, de détruire ce bruit très fâcheux aujourd'hui pour moi et d'annoncer que ce qu'on avait écrit était le résultat d'une erreur. Je vous le demande maintenant, monseigneur, est-il possible que je retourne dans mon département sans y être humilié, déconsidéré ? Le public, toujours trop enclin à la malignité, aux observations critiques, ne regardera-t-il pas ou comme une présomption ridicule de ma part cette nouvelle démentie depuis, ou plutôt comme une disgrâce ce qui, dans le fait, ne fut qu'une méprise ?. Depuis cinq ans et demi, j'ai joui dans 1’Ouest de la considération publique, je pourrais dire d'une réputation environnée de quelque gloire pour tout ce que j'y ai fait il serait donc affreux pour moi de les voir altérer en y retournant après la fatale méprise dont j'ai été le sujet. Je dis plus désormais, je ne puis y servir aussi utilement Sa Majesté et tout autre maintenant y administrera mieux que moi. »

 Et il se montait, se montait jusqu'au délire, réclamant qu'on l'employât partout ailleurs, dans l’ancienne France, dans les Départements réunis.

Partout, sauf en Vendée, il ferait son devoir et il servirait utilement Sa Majesté. « Ma vie entière, proclamait-il, lui est consacrée.

 Le 11 juin, l'Empereur lui donnait une satisfaction, tout en le maintenant en Vendée, il l'appelait à faire nominalement partie, dans le Conseil d'Etat, de la nouvelle institution des maîtres de requêtes qu'il venait de créer et qui demeura constamment, pour le nombre et le choix, le partage d'une élite.

Lorsqu'il vint visiter Napoléon en 1808, non seulement celui-ci adopta, pour encourager la reconstruction des habitations détruites pendant la guerre, des églises et des presbytères, pour terminer le réseau des routes et achever l'édification de la ville, les mesures préconisées par Merlet, mais il les amplifia, il leur donna les développements que comportait son génie, et, sur la trame fournie par l'administrateur éprouvé, il jeta les somptueuses broderies de 1’homme d'Etat somptueuses, certes Il donnait d’un coup six millions.

Mais Merlet, cette fois encore avait réclamé son changement, il voulait se rapprocher de son pays natal, il assurait que sa santé avait été gravement atteinte par les privations de toute espèce et qu'il avait dépensé la moitié de sa fortune plus tard, il proclama, qu'il avait demandé à sortir de place parce que a la Vendée avait été injustement comprise dans une levée de conscrits exorbitante, contre la foi des promesses qui lui avaient été faites.

 Mais ce mobile, il le garda alors soigneusement secret il ne se tint pas plus au Maine-et-Loire qu'en Vendée, et il fut nommé à Aix-la-Chapelle. Là encore, il demanda son changement, « ne voulant plus, dit-il en 1814, s'occuper de levées de conscription ».

Alors, l'Empereur le nomma chef et président de la commission du magistrat du Rhin, avec les pouvoirs de ministre près les princes d'Allemagne possessionnés sur la rive droite.

Lorsque, en 1812, cette partie reçut une autre organisation, l'Empereur fit offrir à Merlet, qu'il avait créé baron le 9 septembre 1810, l'intendance d'un des royaumes d'Espagne » c'est lui qui le dit.

 Il refusa, ce qui lui permit, à la Restauration, de se coiffer à la demi-victime, d'affirmer son dévouement aux Bourbons et de réclamer une préfecture de l'Ouest, soit Nantes, soit Bourbon car ainsi s'appelait, à présent, la ville que Merlet lui-même avait baptisée ; mais il n'obtint pas plus de réponse favorable à sa lettre du 26 avril qu'à celles du 24 mai, du 16 juin, du 11 juillet. Du 13 octobre, où, à proportion que les jours passaient, il exaltait davantage la pureté de son royalisme et les persécutions dont il avait été victime de la part de Buonaparte.

Cela ne l'empêcha point, le 22 avril 1815, l'Empereur revenu, d'écrire quantité de lettres pour demander d'être nommé commissaire sur la rive droite de la basse Loire et dans le pays des chouans, « où il était très connu ».

Cela fut de conséquence, car les régimes passent, mais les dossiers restent et M. de Vaublanc, devenu, en octobre, ministre de l'intérieur, lorsqu'il reçut les compliments de son ancien collègue en préfecture, put constater facilement que si, à présent, M. Merlet déclarait que « depuis plusieurs années il n'avait pas à se louer de l'Empereur six mois auparavant il avait réclamé de lui un emploi majeur et, quelques années plus tôt, il lui avait consacré toute sa vie. On ne l'écouta donc point et l’on eut tort.

 Tel qui s'est montré administrateur excellent et même courageux, la voie étant tracée et le devoir clair, peut hésiter dans les circonstances politiques où les changements d'opinions trouvent de faciles justifications dans des paradoxes spécieux.

En réalité, la plupart de ceux qui sont fidèles à une cause vaincue sont surtout fidèles à un idéal qu'ils portent en eux-mêmes. M. le baron Merlet eût été conséquent à son idéal en obtenant une préfecture du gouvernement de Juillet.

Mais il mourut le 8 décembre 1830 et il faut croire que cela seul l'empêcha tout le moins de la solliciter.

 

 La statue équestre place NAPOLÉON

La commission nationale du patrimoine et de l’architecture du Ministère de la Culture a approuvé le classement de la statue équestre de Napoléon et de son socle au titre des monuments historiques.

L’édifice se compose de deux parties. La première partie est composée d’une statue en bronze d’une dimension de 4,66 m de haut, de 5,40 m de long et de 1,70 m de large. La seconde partie est le socle en granit d’une dimension de 4,86 m de haut, 7,90 m de long et 5,80 m de large.

 


Petit rappel historique.

Février 1851 : Léon Audé, maire de La Roche-sur-Yon, rencontre le comte Emilien de Nieuwerkerke, un sculpteur diplômé des Beaux-Arts, pour lui faire part du souhait collectif d’ériger une statue à l’effigie de Napoléon, au cœur de la ville qu’il a fondée.


13 septembre 1852 : la construction de la statue est autorisée par décret de Louis Napoléon, président de la République.

Le comte de Nieuwerkerke accepte de réaliser l’œuvre et sera aidé dans son entreprise par les célèbres fondeurs de l’époque Eck et Durand pour la statue et les entrepreneurs Haguais et Touchard pour le socle.

La souscription et l’apport de subventions de la part de 152 communes et de l’administration des Beaux-Arts permettront de collecter 57 721,60 francs pour financer le monument.


15 août 1853 : la première pierre est posée le jour de la Saint-Napoléon.

 

 

Le 20 aout 1854, 20 000 personnes ont fait le déplacement pour découvrir la statue, inaugurée le jour du 50e anniversaire de la création de la ville par l’Empereur.

Le comte de Nieuwerkerke fut délégué par l’empereur pour le représenter à la cérémonie.

Dans une lettre datée du 19 juillet de la même année, il annonce le fait à un ami : «  j’y ferai d’un bronze deux coups, écrit-il, puisque je serai auteur et receveur.

 

https://www.mavillesolidaire.fr

 Frédéric Masson de l'Académie française

 

 

Castrum de Rocha super Oyonem (la Roche sur Yon) prieuré saint Lienne <==.... ....==> Itinéraire de Napoléon 1er accompagné de l’impératrice Joséphine en Vendée - Les Essarts, Le général Louis-Armand de Lespinay

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