
Il n'arriva à Arques que quand tout était terminé, et le Roi le « conduisit par la main en tous les endroits remarquables pour les combats, bien quelors il n'y eust aucune délibération d'escrire ceste histoire (1) ».
C'est donc un récit « de première main », si j'ose dire, qu'il nous a laissé de ces combats (2), bien qu'il n'en ait pas été le témoin; et, à ce titre, son rapport est une source précieuse qui mérite d'être consultée à côté des relations de Rosny, de La Force et du duc d'Angoulême (le fils naturel de Charles IX) qui...
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