Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
PHystorique- Les Portes du Temps
4 juillet 2019

Voyage dans le temps à bord du train des Mouettes 1900 à vapeur - Catastrophe de Saujon 14 aout 1910

Voyage dans le temps à bord du train vapeur 1900 des mouettes 2

Le Train des Mouettes est un train touristique associatif circulant depuis 1984 sur les 21 kilomètres de voie ferrée qui séparent Saujon de La Tremblade sur la ligne de Saujon à La Grève en Charente-Maritime.

 

La Catastrophe de Saujon 14 aout 1910

Un train de plaisir, venant de Bordeaux, est tamponné en gare de Saujon. — Horrible catastrophe. — Quatre-vingts victimes. Trente morts, cinquante blessés.

La Rochelle, 14 août. — Une épouvantable catastrophe vient de se produire en gare de Saujon, ce matin, entre dix heures et onze heures. Un train de plaisir, venant de Bordeaux, et bondé de voyageurs, est entré en collision avec un autre train.

 Le choc fut épouvantable et le spectacle affreux. Deux wagons furent littéralement réduits en miettes, presque pulvérisés. Des gens affolés, la figure en sang, couraient de tous côtés.

Quand on put commencer à organiser les secours, on s'aperçut que le nombre des victimes était considérable. A l'heure actuelle, on a relevé trente-huit cadavres des décombres.

On n'apprit la nouvelle à Bordeaux que par le retour de voyageurs sains et saufs ou légèrement blessés, mais qui étaient encore sous le coup d'un véritable cauchemar d'épouvante.

Le préfet de la Charente-Inférieure s'est rendu en automobile sur les lieux de la catastrophe. La. voie est absolument obstruée et la circulation arrêtée. Des trains de secours ont été immédiatement formés Bordeaux, emportant tout un matériel d'ambulance.

Les cadavres sont placés côte à côte dans la gare de Saujon, dont la population est littéralement terrifiée.

Je pars sur les lieux. — C.

QUELQUES DETAILS

C'est le train de plaisir formé de Bordeaux à Royan et qui a quitté la gare de Bordeaux-Saint-Jean à 8 heures 35 du matin, qui a été tamponné par un train de marchandises.

L'express habituel de 8 heures 40, qui va de Bordeaux à Royan, n'a pas été touché.

La catastrophe est lamentable; il y avait dans le train tamponné une société des élèves de l'école communale de Barsac que l'on accompagnait à Royan en partie de plaisir. Le malheur a voulu qu'ils fussent dans un wagon réduit en miettes et onze de ces pauvres élèves ont été tués sur le coup.

On ramène leurs cadavres à Bordeaux par le train de 8 heures 37, ce soir.

La plupart des victimes sont originaires de la ville de Bordeaux ou du département de la Gironde. On n'en a pas encore dressé, à l'heure où je télégraphie, la liste funèbre.

On me confirme en cours de route qu'il y a trente-cinq à trente-huit morts et soixante blessés.

Le train tamponneur est le train 1152. C'est un train de marchandises venant de Royan.

 

LA NOUVELLE A PARIS

Par service spécial :

Paris, 14 août. Nous arrivons du siège de la compagnie de l'Etat où l'on vient de recevoir la nouvelle de la catastrophe. La direction du mouvement confirmait ainsi la nouvelle : « C'est effectivement en gare de Saujon que s'est produite la catastrophe. Nous croyons savoir qu'il y a vingt-cinq morts et de nombreux blessés. Nous demandons des détails, car pour l'instant nous en manquons complètement. »

Le chef de gare de Saujon a télégraphié la terrible nouvelle à la direction de l'Etat et au ministère des travaux publics. Au ministère des travaux publics on avait, en effet, reçu, à deux heures, un télégramme mentionnant laconiquement l'accident dû à la rencontre de deux trains en gare de Saujon. A cinq heures, le ministère ignorait encore le chiffre exact des morts et des blessés, la cause de l'accident et même quels sont les deux trains entrés en collision.

LA GARE DE SAUJON

La station de Saujon est à neuf kilomètres de Royan. On n'a jusqu'à présent aucune explication précise de l'accident. L'enquête est ouverte, mais on n'en connaîtra les résultats qu'un peu plus tard.

A la gare de Saujon, que les gendarmes gardent contre tout envahissement, le préfet, son chef de cabinet, des fonctionnaires de la compagnie et des médecins du pays s'empressent auprès des blessés.

Parmi les victimes se trouverait M. Dubois, chef de l'exploitation.

 

M. MILLERAND ENVOIE UN DELEGUE

Paris, 14 août. — M. Leven, chef du cabinet du ministre des travaux publics, et M. Haugé, directeur de l'administration des chemins de fer de l'Etat, partent ce soir, à 8 h. 15, pour Saujon.

 LES VICTIMES

Bordeaux, 14 août. — Le train tamponné était le train de plaisir spécial qui, tous les dimanches, fait le service Bordeaux-Royan. A l'occasion des deux jours de l'été, il avait été envahi au départ de Bordeaux et de nombreuses personnes n'avaient pu y prendre place, à leur grand mécontentement. A L'heure actuelle, on a retrouvé trente-deux morts. Vingt-cinq personnes sont blessées grièvement.

 

Comment la Catastrophe a été connue à Bordeaux. — L'Emotion en Ville. — L'Organisation des Secours.

Bordeaux, 10 août. — A quatre heures et demie, on n'avait pas de nouvelles officielles, à la gare Saint-Jean, sur l'accident de Saujon. La nouvelle de la catastrophe a été apporté; ici par des voyageurs, mais dans des termes plus ou moins contradictoires.

Un voyageur arrivé dans l'après-midi de Saujon déclare que  l'accident ses produit à une cinquantaine de mètres de la gare de Saujon. Il aurait été précédé par la rupture d'un essieu d'une voiture du train de plaisir. Ces voitures ont été brisées, dit ce voyageur.-

On ne parlait de rien moins, lorsque ce voyageur a quitté Saujon, que d'une cinquantaine de morts et ,cent cinquante blessés. La consternation est immense.

Tous les médecine de Royan et des environs ont été requis d'urgence et sont partis sur les lieux de l'accident

Le chef du train de plaisir serait parmis les morts

L'émotion à Bordeaux est très vive. Beaucoup de Bordelais étaient partis ce matin pour Royan à 10 h. 45, plusieurs avaient laissé des parents à Bordeaux.

Le train emportait 1,200 voyageurs, notamment un pensionnat de jeunes filles de Barsac comprenant 32 élèves accompagnées d'une maîtresse.

Toute l'après-midi les gares ont été assiégées par d'innombrables personnes qui venaient aux nouvelles

Toutes ces personnes étaient, on le comprendra sans peine, sous le coup de l'émotion la plus vive, de l'angoisse la plus douloureuse.

On confirme que parmi les morts figure M. Dubois, chef du mouvement de la Compagnie des chemins de fer de l'Etat, à Bordeaux. On a les plus grandes inquiétudes sur le fort de M. Clavier, directeur des tramways de Cadillac et sur celui de sa femme et de sa famille qui voyageaient avec lui.

 

LA CATASTROPHE AURAIT ETE PROVOQUEE PAR UN FAUX AIGUILLAGE

Voici les raisons que l'on donne de la catastrophe :

Bordeaux, 14 août. — Le train de plaisir de Bordeaux à Royan, qui part tous les dimanches et qui franchit le parcours de 140 kilomètres qui sépare ces deux villes en deux heures et sans aucun arrêt entrait ce matin, à l'heure réglementaire, en gare de Saujon.

C'est par suite d'un faux aiguillage que le train plaisir serait venu se jeter sur le train de marchandises à une vitesse de soixante kilomètres à l'heure. Le choc fut effroyable et provoqua une catastrophe et une indescriptible panique parmi les centaines de voyageurs qui avaient, deux heures avant, gaiement pris place dans le tram à Bordeaux et parmi les nombreuses personnes qui stationnaient en gare de Saujon.

On assure qu'il y aurait 82 morts et plus de 60 blessés; parmi les morts et les blessés se trouvent, parait-il, une trentaine de jeunes filles de Barsac.

3996421284

UN BLESSE RACONTE LA CATASTROPHE

Bordeaux, 14 août. — Cinq blessés de la catastrophe de Saujon sont arrivés à la gare de Bordeaux-Saint-Jean par le train de Nantes, dans lequel ils avaient été transbordés à Pons. Ces blessés, qui habitent Bordeaux ou la région, ont des fractures. Tous ont conservé leur connaissance et, encore sous le coup de l'émotion, font un récit navrant de la catastrophe.

L'un d'eux, bien qu'ayant une jambe brisée, raconta d'une façon très lucide que le choc fut effroyable. Il eut à peine le temps de se rendre compte qu'il était projeté hors de son compartiment et pris sous les décombres.

Les voyageurs arrivant des lieux de la catastrophe racontent qu'un service de secours fut organisé d'une façon remarquable par le personnel, infirmières et médecins de la succursale à Saujon, d'une grande maison de santé de Paris.

Les blessés arrivant en gare du Midi à Bordeaux sont transportés avec de grandes précautions à leur domicile par les soins de M. Lacaille, chef de gare administratif.

LE NOMBRE DES MORTS ET BLESSES

 Saujon, 14 août. — Il y a 36 morts et 70 blessés, d'après les renseignements officiels qui viennent de nous être donnés.

La plupart des blessés ont des blessures graves.

LE DEVOUEMENT DES SAUVETEURS

Saujon, 14 août. — L'accident s'est produit à 10 h. 45. Les secours ont été immédiatement organisés. Les médecins de Saujon et les médecins venus de Royan ont été admirables de dévouement. Les blessés ont été évacués sur l'hôpital de Saintes où ils ont reçu les soins des docteurs Mauny et Renon.

Le train tamponneur conduisait à Royan environ 1,100 voyageurs. Le train tamponné était vide. Les six wagons de tête sont tous de 3e classe. Ils sont télescopés; trois ont été littéralement réduits en miettes. Le chauffeur du train tamponné a été écrasé sous sa machine. (Havas).

UN TRAIN DE BLESSES ARRIVE A BORDEAUX

Bordeaux, 14 août. — Tous les blessés de Saujon ont été évacués sur l'hôpital de Saintes et sur Bordeaux. On n'est pas sûr que M. Dubois soit au nombre des morts.

Ce sont les deux premiers wagons du train de plaisir qui ont été le plus endommages Ils sont en miettes. Ils étaient bondés de voyageurs.

Un train de blessés est arrivé à 6 h. 20 à Bordeaux. D'après les renseignements recueillis cet après-midi, le train tamponné était un train mixte, comprenant un nombre égal de wagons de marchandises et de wagons de voyageurs.

Plusieurs personnes qui étaient à Saujon ce matin sont arrivées à Bordeaux ce soir par Saintes. Elles racontent que la rencontre des deux trains produisit un bruit formidable, comparable à un coup de canon.

DES BLESSES SUCCOMBENT

Bordeaux, 14 août. — Trois des personnes grièvement blessées dans la catastrophe de Saujon, que l'on transportait à Saintes, sont mortes en route. Les morts, qui sont tous des jeunes gens et des jeunes filles, sont alignés côte à côte le long de la voie. Les fonctionnaires qui se trouvent sur les lieux estiment le nombre des blessés à une centaine. Ceux-ci ont été transportés un peu partout : à Royan, à Saintes, à Saint-Georges. Deux trains de blessés sont annoncés à Bordeaux pour huit heures et demie et dix heures et demie.

A six heures, les derniers blessés et les derniers cadavres étaient dégagés de sous les décombres. Le mécanicien du train tamponneur a été retiré un des derniers.

M. Eon, procureur général à Bordeaux, était sur les lieux. La voie est ondulée sur une cinquantaine de mètres environ. Les machines sont toujours Renversées. Le mé0a!nioi.em du train tamponné a été projeté à une grande distance. Il est blessé assez sérieusement, mais non mortellement.

A Bordeaux, une vive émotion règne parmi la population. De nombreuses personnes S1e rendent dans les garas de l'Etat et du Midi pour obtenir des renseignements.

LE GOUVERNEMENT ENVOIE M. ALBERT SARRAUT A BORDEAUX

Paris, 14 août. — Le président du conseil a chargé M. Albert Sarraut, sous-secrétaire d'Etat à la guerre, précédemment désigné pour présider les fêtes de gymnastique organisées pour demain à la Rochelle, de se rendre sur les lieux de la catastrophe.

M. Sarraut portera aux familles des victimes les condoléances du gouvernement et prendra, dans leur intérêt, toutes mesures nécessaires.

FETES CONTREMANDEES

M. Fallières douloureusement ému devra continuer son voyage. — Dépêche de condoléances.

Paris, 14 août. — Le président de la République a appris avec une profonde affliction la catastrophe de Saujon.

 Il a envoyé immédiatement au préfet de la Charente-Inférieure, le télégramme suivant :

 « J'apprends à Besançon la terrible catastrophe de Saujon. Je vous prie de faire: parvenir aux familles de ceux qui y ont trouvé la mort la part très sincère que je prends à leur deuil. Veuillez également être auprès des malheureux blessés l'interprète de ma plus douloureuse sympathie. »

D'autre part, M. Fallières a fait supprimer la musique qui devait se faire entendre au cours du dîner offert, ce soir, à la préfecture, aux autorités de Besançon.

Le président de la République a également décidé de modifier le programme de son voyage.

Par courtoisie à l'égard de la Suisse, toute la partie purement officielle du voyage est maintenue. Par contre, M. Fallières renonce à tout ce qui devait constituer pour lui un agrément personnel. C'est ainsi qu'il a résolu de ne point faire, mardi, l'excursion projetée sur le lac de Thoune et à Interlaken.

 Après avoir été, demain soir, l'hôte du conseil fédéral il ne pouvait songer à décommander le dîner auquel il a convié le président et les membres du Conseil fédéral, et qui doit avoir lieu mardi soir à l'ambassade de France. C'est pour cette seule raison que le président de la République restera à l'ambassade de France à Berne, la journée d'après-demain. Mais il ne prendra part à aucune cérémonie ou réjouissance publique.

Le départ de M. Fallières pour Paris, continue à être fixé pour mardi soir, à onze heures. Le président de la République a chargé M. Pichon, ministre des affaires étrangères, de télégraphier à notre ambassadeur à Berne, pour l'inviter à. faire part d'urgence à M. Comtesse, président de la Confédération, des graves raisons qui l'obligent à modifier les dispositions primitivement prises.

 

 

M. le préfet de la. Charente a adressé, à l'occasion de La catastrophe de Saujon, la lettre suivante à son collègue de la Gironde :

Angoulême, le 16 août 1910.

» Monsieur le préfet et cher collègue,

 J'ai l'honneur de vous adresser, au nom de la population de mon département, l’expression de mes sentiments de condoléances à l'occasion de l'affreuse catastrophe qui s'est produite à Saujon et qui a porté le deuil dans un grand nombre de familles de la Gironde

» Nous nous sommes associés, dès la première heure, aux témoignages d'affliction qui, de tous les côtés, sont allés aux parents et aux amis des malheureuses victimes,

» Veuillez agréer, mon cher collègue, l'expression de mes sentiments de sincère attachement. — Le préfet de la. Charente : GÉLINET. »

 

34349359

L’enquête judiciaire

Les hauts fonctionnaires du réseau de l’Etat joints aux membres du parquet, ont consacré la journée à recueillir des témoignages et à examiner les lieux de la catastrophe. Leur besogne a été d’ailleurs simplifiée par les déclarations de l’aiguilleur Deznfit. Voici, à ce sujet la note communiqué par le substitut de Saintes :

« Il résulte de notre examen, tout à fait minutieux , que la responsabilité principale de l’accident incombe à l’aiguilleur Dezafit. Il parait complétement établi, en l’état présent de notre enquête, qui sera très probablement l’état définitif, que cet aiguilleur a donné la voie libre au train spécial de plaisir alors que le train de marchandises 1512 avait encore sa machine, son tendeur et son fourgon engagés sur la voie sur laquelle devait arriver le convoi spécial. L’allure du train de plaisir était de 50 kilomètres. Après les détails qui ont été donnés de divers côtés et après des recherches de notre enquête, nous ne pouvons prendre aucune mesure d’arrestation contre l’aiguilleur. »

 

 

Voyage dans le temps à bord du train des Mouettes 1900 à vapeur (Vidéo 360)

 

Seul chemin de fer à vapeur de Charente Maritime, il dessert les gares de Fontbedeau, Mornac-sur-Seudre, Chaillevette, Étaules et Arvert, en Charente-Maritime (Nouvelle-Aquitaine).

Voyage dans le temps à bord du train vapeur 1900 des mouettes

« Voyagez comme à la fin du XIXème siècle en compagnie de Marguerite, votre guide costumé qui vous contera l’histoire de la ligne

Vous découvrirez les secrets du Train des Mouettes, son matériel d’époque, souvent classé monument historique et suivre une visite du dépôt de restauration ferroviaire à Chaillevette. »

Les bénévoles de Trains et Traction restaurent d’anciennes machines pour le plaisir d’un court voyage le long de la Seudre.

DSC_0305 [1600x1200]

==> https://www.traindesmouettes.fr/

Marais salant de Mornac sur Seudre

Les marais salants de la Seudre constituent un ensemble d'espaces palustres situés aux abords de la Seudre, au sud-ouest du département de la Charente-Maritime, en région Nouvelle-Aquitaine.

 

 
Formant un espace d'une grande diversité au point de vue floristique comme au point de vue faunistique, ils couvrent environ 12 000 hectares, entre Marennes, Saujon et la presqu'île d'Arvert, et sont un site d'importance communautaire (SIC) dans le cadre du réseau de sites naturels ou semi-naturels de l'union européenne Natura 2000
Les marais de la Seudre ont pris la place d'un vaste golfe marin qui s'étendait entre pays d'Arvert et de Marennes il y a encore quelques siècles, séparé du golfe des Santons (aujourd'hui, marais de Rochefort) par une mince péninsule portant Marennes, Saint-Just-Luzac, Saint-Sornin et Le Gua. À l'époque romaine, ce vaste ensemble est converti en salines, qui font la richesse du pays de Saintonge jusqu'à une date fort récente. À partir du XVIIe siècle, on commence à transformer une partie des marais en bassins ostréicoles, activité qui prend le pas sur toutes les autres à compter du XIXe et plus encore au XXe siècle. Les salines deviennent des « claires » ou bassins d'affinage, où les huîtres de Marennes-Oléron acquièrent leur saveur typique.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Marais_de_la_Seudre

 

 

==> Voyage dans le temps avec Le Train des Mouettes et la plus vieille locomotive de France en état de marche sur une voie normale

 

 


 

PROGRAMME D’AOÛT Les Temps d'Aénor
mardi 1er : Visite théâtralisée Musée de Niort (après-midi)
Mercredi 2 : Visite Bains de mer (Parc de Royan) matin
Jeudi 3 : Beau Séjour d’Albertine (Chatelaillon) matin
Vendredi 4 : atelier médiéval nature (Maison de Broue) matin
Samedi 5 : Asinerie du de Dampierre (soirée contes)
Dimanche 6 : Vauban et Mme de Montespan (Musée de Fouras) soir
Lundi 7: gastronomie préhistorique (Paléosite) après-midi
Mardi 8: Visite théâtralisée Musée de Niort (après-midi)
Mercredi 9 : Visite Bains de mer (Parc de Royan) matin
Cuisine antique (Site du Fâ) après-midi
Jeudi 10 : Beau Séjour d’Albertine (Chatelaillon) matin
Vendredi 11 : atelier médiéval nature (Maison de Broue) matin
Samedi 12 : gastronomie antique (Saintes)
Dimanche 13 : Vauban et Mme de Montespan (Musée de Fouras) soir
Lundi 14 : médecine préhistorique (Paléosite) après-midi
Mercredi 16 : Visite Bains de mer (Parc de Royan) matin
Plantes médiévales médicinales (Pons) après-midi
Jeudi 17 : Beau Séjour d’Albertine (Chatelaillon) matin
Vendredi 18 : atelier médiéval nature (Maison de Broue) matin
Dimanche 20 : Vauban et Mme de Montespan (Musée de Fouras) soir
Lundi 21 : gastronomie préhistorique (Paléosite) après-midi
Mercredi 23 : Visite Bains de mer (Parc de Royan) matin
Plantes médiévales médicinales (Pons) après-midi
Jeudi 24 : Beau Séjour d’Albertine (Chatelaillon) matin
Vendredi 25 : atelier médiéval nature (Maison de Broue) matin
Dimanche 27 : Vauban et Mme de Montespan (Musée de Fouras) soir
Mercredi 30 : Visite Bains de mer (Parc de Royan) matin
Jeudi 31 : Beau Séjour d’Albertine (Chatelaillon) matin
Publicité
Commentaires
PHystorique- Les Portes du Temps
Publicité
Publicité