
Le quatre août 1795, l’église du Poiré-sur-Vie fut le théâtre d’un fait, qui est certainement l’un des plus remarquables de l’histoire de notre Vendée.
Il est même l’unique de ce genre dans les fastes de l’Eglise, pendant la période révolutionnaire. Il s’agit d’un des actes les plus graves et les plus solennels de la juridiction épiscopale; d’une mesure à laquelle on doit, peut-être, la conservation de la religion dans la contrée, la persévérance de cette province dans la grande unité romaine.
Persécutés, emprisonnés, bannis...
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