
Voilà quelle était la situation de Nantes au moment où l'armée vendéenne, découragée par la mort de Cathelineau, renonçait à prendre ou plutôt à délivrer cette malheureuse ville.
Au moment où ces nouvelles arrivaient à M. de Lescure, le Bocage était menacé par une armée républicaine commandée par le duc de Lauzun-Biron ; et Mme de Lescure, qui ne pouvait se résoudre à quitter son mari qui partait blessé et le bras en écharpe, pour défendre Parthenay, se mit en route avec lui pour Amaillou.
Mme de Lescure eut le bonheur de...
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