
Le second fils de Catherine de Parthenay a laissé une triste renommée dans notre province du Bas-Poitou. A l'audace de son frère il joignait la dissimulation, parfois la cruauté ! On peut dire de Soubise qu'il fut « plus reitre que gentilhomme ».
Aussi son nom était-il devenu un terme de mépris, un objet de terreur : il y a peu d'années, dans certains cantons de notre bocage, quand une mère voulait gronder un de ses enfants et lui faire honte, elle l'appelait « Petit Soubise ».
Henri de Rohan avait confié à Soubise le soin...
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