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PHystorique- Les Portes du Temps
25 novembre 2021

1366 Querelle de Barons entre le comte de Sancerre, seigneur de Faye-la-Vineuse et le sire de L’ile Bouchard

1366 Querelle de Barons entre le comte de Sancerre, seigneur de Faye-la-Vineuse et le sire de L’ile Bouchard

Pendant le troisième quart du XIVe siècle, la baronnie de l'Ile Bouchard était aux mains de Bouchard, huitième du nom.

Comme nombre de barons de son époque, ce Bouchard savait se montrer plein de bravoure et de piété.

Il avait, en 1362, fait le voyage en Terre sainte et, en 1365, donné son aveu à des chartes par lesquelles ses ancêtres, pour le remède de leur âme, avaient fait des dons importants à l'abbaye de Turpenay.

En outre, l'une de ses soeurs, Tiphaine, était religieuse à Fontevrault et son fils, Jean, devait trouver la mort à la bataille d'Azincourt (25 octobre 1415).

Mais bon sang ne saurait mentir, et Bouchard était issu d'une lignée connue dans l'histoire pour sa turbulence et qui devait mériter sa réputation jusqu'à ce qu'elle s'éteignît, en 1472, par la mort de la fameuse Catherine, épouse en quatrièmes noces de Georges de la Trémouille, meurtrier de son troisième mari.

Pas plus que ses ancêtres ou que ses descendants, le sire de l'Ile-Bouchard ne manquait d'audace et, comme il avait le goût de l'aventure, il ne craignait pas, à l'occasion, d'occuper les loisirs que lui laissait la guerre à des jeux dangereux.

C'est ainsi que, par un jour de printemps de l'année 1366, il flânait sur les terres de son voisin, le seigneur de Faye-la-Vineuse, en quête, semble-t-il, de quelque profit mal défini, lorsqu'il avisa près d'une maison un homme qui vaquait paisiblement à ses occupations.

Fut-ce de « propos appensé », comme le soutint par la suite son adversaire, ou bien l'occasion fit-elle le larron?

Bouchard VIII héla le manant : son faucon lui avait échappé et il demandait qu'on le vînt aider à rattraper l'oiseau fugitif.

L'homme le suivit sans méfiance.

 Mais lorsqu'on fut à bonne distance de toute habitation, Bouchard se jeta sur son compagnon, se saisit de lui et l'emmena bon gré mal gré en son château de l'Ile.

Là, il le fit jeter en prison, l'y garda quelque temps et ne lui rendit la liberté que moyennant une rançon de vingt à trente florins.

L'affaire en fût peut-être restée là si la victime n'avait été un sujet de Jean III, comte de Sancerre, baron de Marmande, en Poitou, seigneur de Faye-la-Vineuse, Saint-Michel-sur-Loire, La Roche-Clermault et autres lieux.

Ce puissant personnage, dont le frère cadet Louis de Sancerre guerroyait sous les ordres de Bertrand Duguesclin, était peu disposé à tolérer qu'on enlevât ses gens sur ses propres terres et qu'on les rançonnât impunément. ==> Le Connétable Louis de Sancerre

En apprenant le rapt auquel s'était livré le sire de l'Ile, il entra dans une violente colère et, vivement « ému par chaleur et de l'injure et vilenie que lui avait faite ledit Bouchard », il se jura incontinent d'exercer des représailles à l'encontre du coupable.

A cet effet, il convoqua le capitaine de son bourg fortifié de Faye-la-Vineuse, Guillaume de Coué, un écuyer nommé Louis de Langon et quelques autres de ses gens et, la veille de la Pentecôte, la petite troupe se rendit en armes à l'Ile-Bouchard.

Elle y arriva sur le coup de midi. C'était le jour du marché et une vive animation régnait dans la petite cité dont les rues s'emplissaient d'une foule de paysans venus là pour vendre leurs denrées.

A la vue de ces chevaliers armés sur le pied de guerre, marchands et chalands crurent à l'arrivée des Anglais dont les incursions étaient alors fréquentes dans la région et, effrayés, se hâtèrent les uns de plier bagages et les autres de déguerpir.

Cependant, sans plus se soucier du trouble que provoquait leur chevauchée insolite, les compères se dirigèrent vers le château pour demander raison à Bouchard et à son châtelain.

Mais ce fut en vain qu'ils heurtèrent à l'huis de la forteresse qui se dressait, insolente, au milieu de son île : le sire de l'Ile-Bouchard se refusait à toute explication.

Alors, exaspéré par l'humiliation que venait à nouveau de lui infliger son voisin, le comte de Sancerre s'en retourna vers la ville avec ses compagnons et laissant éclater sa fureur :

— Prenez, leur dit-il, prenez les vilains sujets du seigneur de l'Ile-Bouchard.

Malheureusement pour eux, tous les pauvres vilains n'avaient pas eu le temps de s'esquiver. Obéissant sur le champ à l'ordre de leur chef, Guillaume de Coué, Louis de Langon et autres se précipitèrent sur quelques notables d'entre eux, qui leur parurent aptes à payer forte rançon, tels Jehan Prévost, Jehan Devalleblès, Jehan Brien et Lancelot Huchon, dont ils s'emparèrent et qu'ils emmenèrent prisonniers comme otages.

Ce fut à Bouchard de se plaindre.

Il demanda justice au roi qui, sous peine de bannissement et de confiscation de leurs-biens, ajourna les coupables au bailliage de Touraine. Ceux-ci, pour leur défense, ne manquèrent pas de faire valoir leurs bons et loyaux services de guerre, qui étaient réels.

A maintes reprises ils avaient pris les armes pour le service du roi et « grevé » ses ennemis ; ils avaient pris part à bien des batailles, nonobstant le grave préjudice qui en était résulté pour eux.

Guillaume de Coué, pour sa part, allégua qu'il devait « vaquer continuellement à la garde du fort de la Faye » qui lui était confiée et qu'au surplus il préférait employer son temps à servir le roi plutôt qu'à plaider contre son procureur.

Le roi se montra sensible à ces arguments et lui accorda, ainsi qu'à ses complices, des lettres de rémission.

Il confirma même le don, que lui avait fait Amaury de Craon, des biens confisqués sur Guillaume de Varennes et Agnès, sa soeur, qui étaient passés aux Anglais, lesquels « pour icelluy temps faisaient guerre au royaume de France ».

 

 

Lettres de rémission en faveur du comte de Sancerre, de Guillaume de Coué, capitaine de Faye la Vineuse, et de Louis de Longon, qui par représailles avaient emmené prisonniers des sujets du sire de L’ile Bouchard

Fevrier 1367

Charles, etc. Savoir faisons à tous, présen et avenir, que de la partie nostre amé et féal le conte de Sancerre (1), Guillaume de Coué (2) et Loys de Langon, escuiers, nous a esté exposé comme autres fois le sire de l’Ile Bouchart (3), chevalier, fust venu de propos appensé en la terre et seigneurie du dit conte, et eust trouvé un dez subgez d’icel-lui conte et lui eus dit que il alast avec lui, pour lui aidier à prendre son oysel, le quel subgez, tenant que il deist verité et qui en rienz ore se prenoit garde que le dit Bouchart lui voulsist maufaire, ala avec luy, et quant il fu eslongné de son hostel, le dit Bouchart le prist en la terre, justice et seigneurie du dit conte et le traist hors d’icelle,et le mena prisonnier à l’Ile Bouchat, et depuis le detenist par aucun temps, et en après le mist à finance de XX. Ou de XXX. Floreins, ainçois qu’il peust eschaper de prison.

Et ces chose venuez à la congnoissance du dit comte, il, esmeu par chaleur et de l’injure et vilenie que lui avoit faicte le dit Bouchart, avec lui le dit Guillaume, qui est capitaine de Faye la Vineuse, près le duché de Guyenne au quart d’une lieue, pour le dit conte, le dit Loys et autres sez complices fussent venus, la veille de la Penthecoste darrainement passée, armez de leurs armeures en la ville de l’Ile Bouchart appartenant au dit Bouchart, en la quelle seoit le marchié, et pour doubté qu’il fussent ennemiz, lez marchans qui avoient leurs denrées au dit  marchié se fussent absentez, eombien que en entencion de meffaire à yceulz marchans il ne fussent pas là venus et fussent alez après le dit Bouchart et son chastellain, pour savoir la cause pour quoy il avoit ainsy amené son subjet de sa terre et brisié sa justice.

Lesquelz Bouchart et chastellain s’en alerent senz ce que les diz conte et sez gens peussent parler à eulx, et en retournant, en contreparant, le dit conte dist à ses diz compagnons : «  Prenez les villains subgez du seigneur de l’Ile Bouchart », les quelz prindrent Jehan Prevost, Jehan Davalleblès, Jehan Brien et Lancelot Huchon, et lez emmenerent prisonniers.

Et sur ce les diz Bouchart et Jehan Prevost se sont traiz par devers nous ou nostre court, et nous aient donné à entendre que d’aguet appensé, le dit conte et pluseurs sez complices, armez de diverses armez, la veille de la Penthecoste derrainement passé, estoient venus à l’heure de midy en la dite ville,  et pour la paour d’eulz s’estoient absentez lez marchans et leissées leurs marchandises, et avoient ensuy le dit Bouchart et son chastellain, afin de les prendre, et en retournant le dit conte, cria à haute voix :  « Prenés les villains subgez du seigneur de l’Ile Bouchart » ; en abeissant au dit commandant, le dit Guillaume et les autres complices du dit conte avoient pris les dessus nommez complices du dit conte avoient pris les dessus nommez et emmenez prisonniers, et encores en detenoient un.

Si mandons et commettons par noz lettres, par nous sur données au premier huissier de nostre Parlement, ou de noz sergens qui sur ce sera requis, qu’il s’enfourment des choses contenus en icelles lettres et ceulz qui par informacion, fame publique ou vehemente presumpcion seront trouvez coulpable dez cas contenus ès dictes lettrez, soient adjournez à comparoir en personne aux jours dou bailliaige de Tourainne du present Parlement, sur peine de bannissement et de confiscacion de biens, pour respondre à toutes fins à nostre procureur et aux diz Bouchart et Jeahan Prevost, à fin civile seulement, sur lez choses contenues ès dictes lettres, et proceder en oultre comme de raison sera ; et par vertu d’icelles, aient les diz exposans esté adjournez en nostre dit Parlement par la maniere dessus dicte, si comme il dient.

Si nous humblement supplié, comme il aient nous et noz predecesseurs bien et loyaument servis en noz guerres, esté armez par pluseur fois et grevé noz  ennemiz, et esté en pluseurs batailles arrestéez, et aient moult perdu à cause des dictez guerres, et encore conviengne le dit Guillaume vaquier continuelment à la garde du fort de la Faye, comme il n’aient volenté de plaidier contre nostre procureur, maiz aient affection et desir de eulz emploier à nous servir, que sur les choses dessus dictes, en tant comme il nous puet toucher, nous leur veillons impartir nostre grace.

Nous, acertainez des bons et agreables services que les diz exposant nous ont faiz et à noz predecesseurs èz dictez guerres, et de la vraie amour et parfaite loyauté, que il ont eue à nous, à noz predecesseurs et à la couronne de France, aux diz exposans, leurs complices, et à chascun d’eulz, ou cas dessus dit, et satisfait à partie avant toute euvre, avons quictié, remiz et pardonné, et par ces presentes quictons, remettons et pardonnons, de nostre grace especial, auctorité royal et certaine science, le port d’armez et tous les cas dessus diz avec toute offense, poine et amende corporele, criminele et civile, que pour occasion de ce , eulz ou aucum d’eulz pueent avoir encouru envers nous, comme que soit, et imposons sur ce silence à nostre procureur.

Si donnons en mandement à noz amez fealz gens tenans à present et qui tendront nostre Parlement, ou temps avenir, au bailli de Touraine et à tous autres justiciers de nostre royaume, ou à leurs lieux tenans, et à chascun d’eulx, si comme à lui appartendra, que les diz exposans et chascun d’eulx il facent et lessent joir de nostre presente grace, et contre la teneur d’icelle ne les molestent, contraingnent ou empeschent, ne souffrent estre contrains, molestez ou empeschez, en corps ne en biens, en aucune manière ; mais se aucuns de leurs biens sont pour ce pris, saisis ou arrestez, qu’il eur facent rendre et restituer sanz delay.

Et que ce soit ferme choses, etc. sauf, etc.

Donné à Paris, l’an de grace mil CCC. LXVI, et de nostre regne le tiers, au mois de février.

Ainsi signé : Par le roy, en ses Requestes. G. Niezon, Chevrier. Visa.

 

 

Plus tard encore, la ville de Faye-la-Vineuse ayant été prise et dévastée par les grandes compagnies (septembre 1368), il fit don au comte de Sancerre, pour compenser la perte qu'il avait subie, d'un certain nombre de terres sises dans les châtellenies de Chinon et de Loudun, confisquées sur différents seigneurs qui avaient pris le parti des Anglais (octobre et novembre 1369).

Les années passèrent ; Bouchard de l'Ile mourut et l'on eût pu croire définitivement clos l'incident qui l'avait opposé au comte de Sancerre : il n'en fut pourtant rien.

Après la mort de son père, Jean, devenu à son tour baron de l'Ile, reprit devant le parlement des poursuites qui durèrent jusqu'au milieu de l'année 1383.

A cette époque il y avait dix-sept ans qu'avait eu lieu la querelle de Bouchard avec le sire de Faye-la-Vineuse et le temps, à défaut de l'oubli, avait sans doute apporté un peu de sagesse aux trop bouillants chevaliers.

Finalement un accord intervint (9 juillet 1383) entre Jean de Sancerre, Guillaume de Coué et Louis de Langon d'une part, et le sire de l'Ile-Bouchard et Jehan Prévost d'autre part : les uns et les autres se tenaient mutuellement quittes des attaques et faits de guerre qu'ils se reprochaient et, renonçant à tout procès, se promettaient de vivre désormais en bonne et mutuelle amitié.

 

H. B. Société d'histoire de Chinon Vienne & Loire.

Recueil des documents concernant le Poitou contenus dans les registres de la chancellerie de France

 

 

 

 ==> 1368 Une bande des Grandes Compagnies de Gascon venant de Beaugency occupe quatre mois Faye la Vineuse

Le Connétable Louis de Sancerre  <==

 



 
Eglise Saint Maurice 5 Rue de Chateaudin, 37220 L'Île-Bouchard

(1)    Jean III de Sancerre (1334-1402/1403), comte de Sancerre en 1346 à 12 ans à la mort de son père au cours de la bataille de Crécy. Fils aîné de Louis II, sire de Bois-Gibault à Tracy par acquisition en 1383. Seigneur de Marmande et de Faye la Vineuse, par son mariage avec Marguerite de Marmande, héritière

 Il obtint, en 1348, du roi Philippe de Valois des lettres de dispense pour administrer ses domaines.

Conseiller et chambellan du roi Charles VI, prisonnier à Poitiers en 1356, otage de Brétigny 1360.

Epouse : 1° Marguerite dame de Marmande, La Haye-Passavant, Faye-la-Vineuse, St-Michel-sur-Loire, Cravant, La Roche-Clermault.  Il eut deux filles, l’ainée, Marguerite, épousa, en première noces, Gérard Chabot V, seigneur de Retz, et, en secondes noces, Beraud II, comte de Clermont.

2° Constance fille de Thomas II de Saluces et Riccarda Visconti (remariée à Geoffroy, fils de Jean Ier Le Meingre Boucicaut).

Armes Maison de Sancerre : D’azur, à la bande d’argent cotoyée de deux cotices d’or, potencées et contre-potencées, au lambel de gueules brochant sur le tout

(2)    M. Delaville Le Roulx, qui a publié ces lettres de rémission (comptes municipaux de la ville de Tours. T. II, in 8, 1881, p291-292), le nomme, par la suite d’une mauvaise lecture, Guillaume de Cône. C’est bien à un membre de la famille de Coué du Loudunais que nous avons affaire, famille sur laquelle M. Beauchet Filleau a recueilli un certain nombre de notes (Dict. généal. Du Poitou. t.II p.345), et que plusieurs auteurs ont voulu rattacher, avec plus ou moins de fondement, à la maison de Couhé-Lusignan.

Guillaume de Coué était capitaine de Faye-Ia-Vineuse en 1366-1367, et nous avons publié des lettres de rémission de février 1367 pour des représailles qu'il avait exercées avec Jean III, comte de Sancerre, contre Bouchard de l'lle-Bouchard, en prenant comme otages des sujets de ce seigneur.

Cet acte n'avait pas mis fin à la querelle, et les poursuites furent reprises au Parlement même après la mort du sr de l'Ile-Bouchard, par son fils.

Elles se terminèrent par un accord, que nous avons retrouvé depuis, entre le comte de Sancerre, Guillaume de Coué et Louis de Langon, d'une part, le sr de l'Ile-Bouchard et Jean Prévost, l'un des otages, d'autre.

Les parties déclarent se quitter respectivement des attaques et faits de guerre qu'elles se reprochaient, renoncer à tout procès, et se promettent désormais une bonne et mutuelle amitié. Cet accord est du 9 juillet 1383. (Arch. nat., Xc47.)

Le 3 avril 1388, Guillaume de Coué fit hommage à Marie duchesse d'Anjou, dame de Mirebeau, de son hôtel de Champigny-le-Sec et dépendances, avec la promesse habituelle de bailler son aveu dans les quarante jours. Il possédait aussi un hôtel à Bernay en la châtellenie de Faye-la-Vineuse, pour lequel il devait aussi l'hommage lige au duc d'Anjou, hommage qu'il fit à Angers le 2 avril 1407. (P. 13343, fol. 83 et 9).)

 

(3) le nom de Bouchard, seigneur de l’Ile Bouchard, se rencontre fréquemment dans les registres du Parlement. Il a été dit précédemment quelques mots de son différend avec Maurice Chamaillard, doyen de Saint Martin de Tours, à propos d’un péage sur la Vienne (vol. précédent. P.137 note) des actes des 10 juin 1344, 18 avril et 25 juin 1345 nous font connaitre une longue contestation qu’il eut avec Hugues VI de Bauçay (x 9, fol, 46 ; x 10, fol 257 v° 268 v°)

Vers la même époque, il était aussi en procès, ainsi que Guillaume Moreau, Jean Prévôt (celui sans doute dont il est question ci-dessous, qui fut pris et emmené par le comte de Sancerre et Guillaume de Coué), et Jean Morant, habitants de l’Ile Bouchard, contre le commandeur de la maison de l’Hôpital, au sujet de l’entretien et de la réfection des ponts de ladite ville sur la Vienne (arrêt intéressant du 26 juillet 1343 : x 9, fol, 476 v°). un autre arrêt, non définitif, fut rendu dans cette même affaire, plus de dix ans après, le 27 juin 1354 (X 15, fol, 338 v°)

 

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