
Les droits seigneuriaux levés sur les voies publiques reposaient sur le même principe d'entretien. C'est pour subvenir aux frais des réparations qu'on levait un péage permanent (1) ou temporaire (2) sur les chaussées, les bots et les ponts, et qu'on percevait un droit de passage sur les rivières où un bac se tenait constamment à la disposition des voyageurs (3).
Dans le dédale de chaussées, de digues et de bots qui servaient à la circulation, il est difficile de retrouver le tracé des chemins de grande communication qui...
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