
Après l'achèvement de ce canal, qui côtoyait les marais du nord de la Sèvre sur une longueur de cinq lieues, les dessiccateurs bas-poitevins s'arrêtèrent, jugeant leur œuvre terminée.
Désormais la période de luttes avait pris fin les eaux ne stagnaient plus comme autrefois entre les coteaux et les îles, mais s'écoulaient avec lenteur entre les bords des achenaux vers les rivières ou vers la mer. Leur retrait avait découvert une immense étendue de terrain qu'il suffisait de cultiver pour obtenir les mêmes produits que dans la...
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