
Si vous suiviez en automobile les anciennes grandes lignes de communication — celles au moins antérieures au « Pavé du Roi », — vous pourriez constater que la plaine ne fut guère jugée propice aux relations entre les centres d'activité humaine que depuis l'établissement des voies ferrées.
Considérez, en effet, ce qui reste de nos châteaux forts gothiques, de nos vieilles tours et de nos vieux ponts; étudiez sur les visages que vous rencontrerez la persistance de certains types laissés, comme traces de leur passage, par les races...
[Lire la suite]