
Dans la nuit du 24 au 25 novembre, à 1 heure 45 du matin, le Tigre s'éteignait.
Selon sa volonté, il n'y eut ni cérémonie, ni obsèques nationales, ni discours. Il a voulu être inhumé en Vendée, au Colombier, ferme aux tourelles de manoir, maison familiale de Clemenceau. Pendant que sans cortège il était enseveli au loin, à Pans le canon tira les mêmes salves que le jour de l'armistice, et évoqua ainsi l'heure la plus magnifique de la vie de celui qui venait de disparaitre. Déjà, il est entré dans la légende. Parmi ceux qui ont eu à...
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