La légendaire fée Mélusine poème Couldrette - La maison DE PARTHENAY, branche cadette des Lusignan. Gisants Eglise Ste-Croix
(la porte Saint-Jacques de Parthenay)
A la fin du IXème siècle, à l'époque des invasions Normandes, une famille édifie une forteresse à Parthenay. Elle détient aussi des biens et bénéfices dans le pays d'Herbauge, en Aunis et en Saintonge.
Guillaume Ier de Parthenay fait partie des grands vassaux des comtes de Poitou et d’Anjou, puisqu’il participe souvent à leurs assemblées féodales.
Effectivement, Parthenay qui se situe en dessous de Thouars est située de telle manière qu’elle jouxte les territoires des comtes de Poitou et d’Anjou, faisant des terres de ce seigneur un carrefour entre les deux comtés.
Poème sur la légendaire fée Melusine, dont les seigneurs de Parthenay se prétendaient les descendants, a laissé un éloge flatteur des deux derniers membres de cette antique maison. On lira peut-être avec un certain intérêt quelques-uns de ces vers naïfs et curieux au point de vue de l'histoire locale.
La légende de Mélusine et des Lusignan est attestée dès le début du XIVe siècle, dans le Reductorium morale de Pierre Bersuire (c'est-à-dire Pierre de Bressuire) :
« On raconte dans ma patrie que la solide forteresse de Lusignan a été fondée par un chevalier et la fée qu'il avait épousée, que la fée elle-même est l'ancêtre d'une multitude de nobles et de grands personnages, et que les rois de Jérusalem et de Chypre ainsi que les comtes de la Marche et de Parthenay sont ses descendants (...) Mais la fée, dit-on, fut surprise, nue, par son mari et se transforma en serpente. Et aujourd'hui encore l'on raconte que quand le château change de maître, le serpent se montre dans le château » .
Tout y est sauf le nom. Le nom même de Mélusine n'apparaît pas en effet avant le roman de Jean d'Arras, en 1387, et celui de Couldrette dans son « Roman de Mélusine », qu'il écrivit pour Jean Larchevêque, sire de Parthenay entre 1401 et 1405. Or les fées du folklore n'ont pas de nom. Elles n'en prennent un que pour entrer dans la littérature écrite. Et Mélusine entre précisément dans la littérature écrite, à la fin du XIVe siècle, comme mère des Lusignan, comme Mère Lusigne. Les Lusignan se sont donné une ancêtre féerique, tout comme deux autres grands lignages du Moyen Age : celui des ducs de Bouillon et celui des Plantagenets. Dès le XIIIe siècle en effet on attribue à Godefroi de Bouillon, le premier avoué du royaume de Jérusalem, un ancêtre surnaturel, le Chevalier au cygne ; on accuse les rois d'Angleterre de descendre d'une diabolique comtesse d'Anjou.
La maison DE PARTHENAY, branche cadette des Lusignan, descendait comme eux en ligne directe des comtes de Poitou.
Cette tradition, qui s'est perpétuée dans la famille, emprunte une certaine vraisemblance à la similitude de leurs armoiries avec celles des Parthenay et des Lusignan, dont elles ne diffèrent que par l'espacement des pièces et le changement des émaux.
Elles sont passées dans la famille des Parthenay par les femmes, certainement au XIe siècle lors du mariage de Simon Ier avec Mélisente de Lusignan.
Simon 1er L'Archevêque DE PARTHENAY, vidame au nom de son frère Joscelin II , marié à Mélisente de Lusignan, fille d'Hugues V sire de Lusignan - Seigneur de Parthenay 1030- 1075
Ces armes sont déjà celles de Guillaume V de Parthenay-L'Archevêque sur son sceau vers 1216 (cf. Jean Bony, Un siècle de sceaux figurés (1135-1235), Paris, 2002, no 437).
Guillaume VII L'Archevêque joignait à la bravoure et à ses autres qualités un goût prononcé pour la poésie.
Il entoura de sa protection un trouvère nommé Couldrette, auquel il confia le soin de mettre en vers l'histoire de la célèbre Mélusine.
Ce sujet, qui avait déjà fait le thème d'un roman composé de 1387 à 1393, par Jean d'Arras, sur l'ordre de Jean, duc de Berry, comte de Poitou, intéressait au plus haut degré le sire de Parthenay, car il se flattait d'être un descendant de cette fée mystérieuse.
Le poète raconte lui-même, dans son prologue, comment Guillaume lui ordonna de se mettre à l'œuvre.
« Faistes, dist-il, tout à loisir,
Car vostre est toute la journée.
Le chastel fut fait d'une faée,
Si comme il est partout retrait,
De laquele je suis extrait,
Et moy et toute ma lignie.
De Parthenay n'en doubtez mie,
Mellusigne fu appellée
La fée que vous ay nommée,
De quoy les armes nous portons,
En quoy souvent nous deportons.
Et afin qu'il en soit mémoire,
Vous mettrez en rime l'istoire ;
Je vueil qu'elle soit rimoye :
Elle en sera plus tost oye. »
Lors dy : « Monseigneur, je l'ottroie
Tousjours vostre plaisir feroie. »
L'œuvre de Couldrette, intitulée le Livre de Lusignan, contient plus de six mille vers. C'est une réduction, une imitation en rimes du roman écrit en prose quelques années auparavant par Jean d'Arras.
On y trouve réunis et mis en ordre une grande partie des faits merveilleux que les traditions populaires attribuaient à la puissante Melusine, les exploits de son mari Raimondin et de leurs fils, leurs brillants mariages, leurs aventures extraordinaires. Couldrette a pourtant omis certains épisodes racontés par Jean d'Arras, tels que les combats fabuleux de Geoffroy à la Grand'Dent, fils de Melusine. Cette fée bienfaisante, déjà fondatrice de Lusignan, construisit, ajoute le poète,
Le bourc et le chasteau de Melle,
Apres fist Vauvent et Mervant;
Et puis la tour de Saint Maxant;
Le bourc fist, commença l'abbaye
Où Nostre Dame est bien servie,
Puis la ville de Parthenay
Et le chastel jolis et gay.
On sait à quoi s'en tenir sur tous ces récits ; ce sont autant de fables que notre naïf trouvère raconte avec une bonhomie et une crédulité vraiment charmantes, quoique moins, grandes que celles de son devancier dans la carrière :
Dieu scet bien se j'en mentiray,
Nennil, je ne l'ay pas aprins :
Honte est d'estre à mençonge prins.
Néanmoins, il y a dans le roman de Couldrette certaines particularités qu'on ne saurait mettre en doute. Ainsi le récit des violences commises dans le monastère de Maillezais par le féroce Geoffroy à la Grand'Dent, fils de Mélusine, n'est point une invention; c'est un fait tout historique.
Du reste, le poète n'a été que l'écho des traditions populaires qui avaient cours au XIVe siècle. Il nous a représenté Mélusine telle que la légende la lui avait dépeinte. « La fée, maudite par Pressine, sa mère, pour le crime qu'elle avait commis avec une de ses sœurs en renfermant son père Elinos, fut condamnée à devenir, tous les samedis, serpent depuis la ceinture. Son supplice devait finir avec sa vie, si elle épousait un mari assez discret pour ne pas la voir en ce jour néfaste, et dans le cas contraire, ce supplice devait continuer jusqu'au jugement dernier.
Alliée à Raimondin, neveu d'un comte de Poitou, Mellusine en eut neuf enfants et bâtit le magnifique château de Lusignan. Mais l'indiscrète jalousie de son mari ayant provoqué l'acte de curiosité qui lui avait été interdit, la fée s'élança du baquet où elle prenait tous les samedis ses ébats et disparut. Depuis lors, on la vit errant sur les créneaux de son palais, effrayant par ses apparitions nocturnes les populations voisines et annonçant par ses gémissements plaintifs les malheurs qui menaçaient sa lignée. »
On a fait remonter aux Scythes l'origine de cette légende mystérieuse. M. Félix Herbet, la recherchant dans la mythologie grecque, découvre la sirène sous la fée. D'autres, cherchant dans les annales plus récentes de l'histoire locale, ont cru reconnaître Mélusine dans la personne d'Eustache Chabot, fille de Thibaud Chabot, seigneur de Vouvent, épouse de Geoffroy de Lusignan, parce qu'elle fut mère de Geoffroy à la Grand'Dent, l'un des héros principaux du roman.
Mais ce rapprochement historique, qui n'est pas sans quelque valeur, est un indice encore bien insuffisant, et les hypothèses précédentes, quoique ingénieuses, ne sauraient dissiper les ombres qui enveloppent la fée merveilleuse dont le peuple poitevin conserve toujours le souvenir.
(Armoiries Parthenay-Larchevêque, burelé d'argent et d'azur, à la bande de gueules brochante (alternance des bandes blanches et bleues sur lesquelles est posée une bande rouge). Ces armoiries sont attestées dès la fin du XIIe siècle 1182 - sceau de Hugues Ier).
Il nous semble qu'on pourrait surtout voir dans Mélusine une personnification poétique des antiques maisons de Lusignan et de Parthenay.
En effet, si l'on en croyait sa légende reproduite sous tant de formes variées, tous les châteaux, toutes les villes, toutes les églises ou abbayes de nos contrées seraient son œuvre. Si l'on consulte au contraire l'histoire, on trouve que tous ces monuments doivent leur existence, les uns aux Lusignan, les autres aux Parthenay- L'Archevêque.
C'est donc peut-être le génie bienfaisant et les hauts faits de ces anciens barons que le peuple, dans ses récits merveilleux, et, après lui, les poètes dans leurs romans, ont voulu célébrer sous le nom de Mélusine.
(Musée d’art et d’histoire de Parthenay - Démonstration de Rapace de Vol en Scène Chauvigny pour les médiévales)
Le trouvère Couldrette, tout en chantant les glorieux faits et gestes de la fée légendaire, mère de la lignée de Parthenay, n'a pas manqué de célébrer, en des termes sans doute un peu flatteurs, les grandes qualités de Guillaume L'Archevêque, qui lui avait mis la plume à la main.
Il ne marchande pas plus les éloges à son fils Jean et aux autres membres de la famille seigneuriale. Ces vers inédits ont un intérêt sérieusement historique.
Bons chevaliers ont ilz esté,
Et en yver et en esté,
Oncques ne faulserent leur foy
Pour duc pour capteine pour roy.
Bien parut au bon chevalier
Qui ce livre fist commencier,
De Partenay le bon seigneur
En sa vie a moult gaint honneur.
Mais tant que ce livre faisoye
Et que grant part fait en avoye,
Le bon chevalier trespassa
Qui grant honneur en sa vie a.
On ne peut riens contre la mort
Elle prent le fieble et le fort.
Qui bien à elle penseroit
Tous esbatemens laisseroit
Et penseroit à sauver s'ame
Autant l'homme comme la femme.
Ainsi que je cuyde pour vray
Que monseigneur de Pertenay
C'estoit Guillaume Larchevesque
Dont le nom valoit bien evesque
A trouvé enfin cest la somme
Car c'estoit ung bon preudomme
Et se gouverna noblement
Jusqu'à son définement
Qui fut moult bel et autentique
Et trespassa le mardy que
L'en dit devant la Penthecouste
Ou maint povre avoit esté hoste.
En l'an mil ung et quatre cens
Le bon chevalier plain de sens
Ne se pot de la mort défendre
A Dieu lui convint l'ame rendre
Le dix septisme jour de May
Et gist enterré à Partenay
En l'église de Sainte Croix.
Là gist le chevalier courtois
En moult noble sépulture.
C'estoit bien raison et droicture,
Enterré fut solemnelment
Et moult tres honnourablement.
Car il affiert à grant seigneur
Qu'à mort et vie ait grant honneur.
Le jour de son trespassement
Fut icelui jour proprement
Que le chief du glorieux roys
Sainct Loys prince des François
Que len dit saint en paradiz
Si fut translaté à Pariz.
De son noble filz parleray
Jehan sire de Partenay
Qui son devoir fist bien adont
De son pere que Dieu pardont
L'obseque grandement fist faire
Moult y ot noble luminaire
Ainsi que à lui appartenoit
Combien que grant dueil demenoit.
Mais il convient laissier aler
Ce que len ne peut amender
Je ne tiens point à grant sagesse
Qui trop souffre paine et tristesse
Et qui dueil en son cuer trop porte
Il est fol qui se desconforte.
…..
Au droit propoz vueil repairier
De nostre nouvel héritier
Jehan sire de Pertenay
De quoy au devant je parlay
Le seigneur de Matefelon
Qui le cuer n'a dur ne felon
Ains est courtois et débonnaire.
Il appert bien à son viaire
Qu'il est debonnaire et doulx
Et ne fait point le précioux.
Il est plus doulx que une pucelle,
De ce retrait-il bien à celle
Dame dont il est descenduz
Plus doulce d'elle ne vit nulz,
Humble, courtoise et aimable
Moult piteuse et charitable
Moult fist de bien à povre gent
Tant ot le cuer et franc et gent.
Aussi estoit-elle de ceulx d'Evreux
Qui sont piteuses gens entre eulx
De ceulx qui ont nécessité,
Il en ont maint resuscité,
De povreté mis en richesse.
Ce vient de moult grant noblesse
De franchise et de cuer piteux
De secourir les famileux.
Si fait-il bien il leur ressemble
Moult fera de bien se me semble.
Il en a beau commencement,
Aussi affiert il proprement
A ceulx de la royal lignie,
Et il en est n'en doubte mie,
Car ceulx d'Evreux tous en yssirent
Proprement et en descendirent.
Il est cousin au roy de France
Dont honneur a de celle branche,
Car c'est la plus noble du monde
Tant qu'il se comporte à la ronde,
Ou monde n'a si nobles roys
Certes que le roy des François,
Son cousin est de par sa mère,
Et parent est de par son pere,
Au roy de Chipre et d'Arménie,
Et à celle noble lignie
Que j'ay cy devant racontée
De Melusine la faée.
…..
De Mathefelon le seigneur
A qui Dieu doint joie et honneur
Qui sire est de la maison
De Pertenay c'est bien raison,
Chevalier noble et gentilz
Entre les autres ententifz
Monstre la doulce créature
Qui est de moult noble nature
Quant il ne voult pas délaissier
Ce livre que fist commencier
Son père à qui Dieu pardoint
Jadiz qui loué fut moult.
Car aujourduy ainsi mait Dieux
On ne treuve gueres de tieulx.
Je croy que Millin le face
Je prie à Dieu qu'il le parface
Car il a moult bien commencié.
Il seroit bien plain de péchié
Qui lui vouldroit mal pourchasser.
Je croy que chascun il a chier
S'il voit qu'il soit homme de bien,
Il ne l'escondiroit de rien.
Je l'ay ouy tant renommer
Qu'Alexandre le puis nommer.
….
C'est ung homme de hault paraige
Et moult noble de son lignaige,
Et sa femme print à espeuse
Entre les autres gracieuses
Humble, courtoise et débonnaire
Et ne pense fors qu'à bien faire,
Chascun en dit bien se me semble.
Ilz sont bien assemblez ensemble,
Tant s'entr'aiment qu'on ne peut mieulx,
En ce point les tiengne Dieulx.
Celle dame est de Pierregord
Fille du conte qui est mort,
Et de ce n'est pas méhaignie,
Car c'est une noble lignie,
Et de moult grant auctorité
Et de telle ancienneté
Et de mémoire si loingtaine
Quel est dès le temps Charlemaine.
…..
Tousjours est venu l'héritaige
A hoir masle dont c'est tien fort
De la maison de Pierregord,
Dont est venue Burnissent (Brunissende de Périgord, épouse de Jean II L'Archevêque. )
Gracieuse et saige entre cent,
La dame doulce et débonnaire
Aux autres dames exemplaire
De sens, d'honneur, de courtoisie
Et de maniere bien garnie,
Il ne lui fault chose que dame
Ne doive avoir par mon ame
….
Ça esté ung beau mariaige
Que de mon bon seigneur et d'elle.
Si prie à Dieu qui leur doint telle
Lignie avoir prochainement
Qui dure sans deffinement,
Car le sire et la dame franche
Si sont du lignaige de France.
Douleur seroit se deffailoit
Et se d'eulx ung hoir ne venoit
Pour maintenir la noble lignie
Qui est yssue de Mellunie
De la maison de Partenay
Guillaume VII L'Archevêque mourut le 17 mai 1401.
Le Gisant qui le recouvre représente le vieux seigneur de Parthenay en costume de chevalier; il est revêtu de la cotte d'armes et de la cotte de mailles ; son bouclier est suspendu à son bras gauche, sa tête est nue, ses mains sont jointes et ses pieds reposent sur un chien.
De l'autre côté de l'autel se trouve un autre tombeau que nous supposons être celui de Jeanne de Mathefelon. L'épouse de Guillaume VII est revêtue d'une longue robe bleue et d'un ample manteau de pourpre. Une aumônière est suspendue à sa ceinture ; son attitude est digne et sévère.
Gisant de Jeanne de Mathefelon Epouse de Guillaume VII l'Archevêque- Eglise Ste-Croix de Parthenay.
Personne ne connaissait l'existence de ces deux tombeaux lorsqu'en 1853 la démolition du retable grec, qui masquait complètement le fond de l'abside, vint les rendre tout à coup à la lumière. Ils étaient mutilés, et les cendres qu'ils recouvraient avaient disparu : on retrouva seulement quelques ossements dispersés. Ces profanations ne peuvent avoir été commises que par les protestants pendant les guerres du seizième siècle ; car le retable qu'on vient de détruire fut construit au dix-septième par les soins du duc de Mazarin : ce retable était disposé de telle sorte et masquait tellement les deux tombeaux, qu'il était impossible de les voir. Aussi, grâce à cette circonstance, ils ont échappé à une seconde mutilation pendant nos tempêtes révolutionnaires. Ce fut donc indubitablement avant le placement du retable, c'est-à-dire pendant les guerres de religion que durent avoir lieu les actes de vandalisme dont ils portent la trace. Il est probable que primitivement des inscriptions étaient placées sur ces tombeaux, mais elles ont aussi disparu. C'est le passage de Sainte-Marthe indiqué dans la note précédente qui nous a appris que là était la sépulture de Guillaume VII.
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Musée d'Art et d'Histoire de Parthenay
Jean L'Archevêque était seigneur de Mathefelon en Anjou par sa mère, Jeanne de Mathefelon.
Jeanne de Mathefelon, mère de Jean II L'Archevêque.
Fonds français, 24,383 (Bibl. nat.) Tous ces vers du roman de Lusignan ou de Parthenay, écrits par Couldrette à la fin de son œuvre et contenant l'éloge de la maison des L'Archevêque, ne se trouvent pas dans l'édition de 1854 donnée par M. Francisque Michel.
Dom Fonteneau, t. LXXXVI, extr. des Généal. de Sainte-Marthe. — Roman de Mellusine, par Couldrette.
Le Roman de Mellusine, par M. Félix Herbet (Revue d'Aunis, Saintonge, et Poitou, mai 1869).
Melusine, poème relatif à cette fée poitevine, composé dans le XIVe siècle, par Couldrette, publié pour la première fois par M. Francisque Michel, 1854.