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PHystorique- Les Portes du Temps
29 mars 2019

Chronologie des ROIS, COMTES, DUCS, etc. qui ont gouverné La TOURAINE

Gonfanon croisade Geoffrey Martel Chronologie des ROIS, COMTES, DUCS qui ont gouverné LA TOURAINE

 (Croisade de Geoffrey Martel, Ier, comte d’Anjou et de Touraine - Bataille de Gonfanon)

 

Jules César arrive dans les Gaules l’an de Rome 696, environ 58 ans l’ère vulgaire.

Depuis ce temps, les Turones restent sous la domination des Romains pendant l’espace de 538 ans, sous des comtes ou gouverneurs dont beaucoup nous sont inconnus.

  1. Anicien, comte de Tours ou de Touraine, dans le quatrième siècle, sous l’épiscopat de Saint-Martin.
  2.  Agilon, comte de Tours, dans le cinquième siècle, sous l’épiscopat de Saint Perpet.

480 - Les Visigoths s’emparent de la Touraine

506 - La Touraine passe sous la domination de CLOVIS

511 - Clovis meurt le 27 novembre.

511 - Clodomir. Dans le partage des états de Clovis, la Touraine fait partie du royaume d’Orléans ou de Bourgogne

524 – Clotaire, roi de Soissons, s’empare de la Touraine.

                3 Alpin, comte de Tours sous Clotaire, Clotaire meurt  sur la fin de l’année 561.

                4 Gaïson, comte de Tours, sous Caribert. Caribert meurt sur la fin de l’année 567.

 

Sigebert, frère de Caribert. Par le partage du royaume de Paris, Sigebert, roi de Metz ou d’Austrasie, obtient la Touraine

572 – Chilpéric, roi de Soissons, autre frère de Caribert, usurpe la Touraine sur Sigebert.

575 – Sigebert meurt au mois de décembre.

Chilpéric continue de régner sur la Touraine

                5 Leudaste, comte de Tours sous Chipéric

                6 Eunomius, comte de Tours.

Bérulfz, duc de Tours.

584 – Chilpéric est assassiné à Chelles. Gontran, roi d’Orléans ou de Bourgogne, s’empare de la Touraine immédiatement après la mort de son frère. Un an après, Gontran remet la Touraine à son neveu Childebert, roi d’Austrasie.

                7 Ennode, duc de Tours.

                8 Eborin, comte de Tours.

595 - Mort de Childebert

Thierri II, roi de Bourgogne, second fils de Childebert, a la Touraine en partage.

Clotaire II, roi de Soissons, fils de Chilpéric et de Frédégonde, réunit en sa personne toute la monarchie française.

Depuis cette réunion la Touraine reste soumise aux rois de France pendant toute la durée de la première et de la deuxième race, à l’exception de quelques parties qui dépendaient du royaume d’Aquitaine. Mais la monarchie ayant encore été partagée en royaume de Neustrie et royaume de Bourgogne, nous continuons à indiquer les souverains qui ont possédé la Touraine.

628 – Dagobert 1er

638 – Clovis II

656 – Clotaire III

670 – Thierri III

691 – Clovis III

695 – Childebert III

711 – Dagobert III

715 – Chilpéric II

720 – Thierri IV

742 – Childéric III

752 - Pepin, chef de la seconde race, proclamé roi de toute la monarchie.

768 - Charlemagne, avec son frère Carloman.

814 – Louis-le-Débonnaire succède à son père Charlemagne.

               9  Robert Ier, comte de Tours 818.

840 – Charles-le-Chauve succède à Louis-le-Débonnaire.

                10 Robert II, dit le Fort, fils de Robert Ier, comte de Tours en 861, mort en 867.

                11 Hugues Ier, dit l’Abbé, beau-fils de Robert le Fort, comte de Tours en 876, meurt en 886.

Charles-le-Gros, non comté par les historiens au nombre des rois de France.

887 – Eudes est élu à la place de Charles-le-Gros, sous lui, nous voyons, indépendamment de Robert III, comte de Tours,  Ingelber, sénéchal de Touraine

                  Adralde, vicomte de Tours.

                 Thibaut, vicomte de Tours.

893 - Charles-le-Simple, seul.

922 – Robert Ier

923 – Raoul ou Rodolphe.

14 Hugues-le-Grand succède à son père Robert III, mort en 923.

15  Thibaut, dit le Tricheur, comte de Tours, par la cession que lui fait Hugues-le-Grand, son cousin-germain, en 941.

 

Comtes héréditaire de Touraine

940 - Thibaut, dit le Vieil ou le Tricheur, d’abord simple comte de Tours.

978Eudes Ier, son fils, lui succède après sa mort.

995 – Thibaut II, fils aîné de Eudes Ier, après sa mort.

1004 – Eudes II, fils puiné de Eudes Ier, succède à son frère. Il meurt en 1037.

1037 – Thibaut III succède à son père Eudes II. Il perd la bataille de Nouy près de Mont-Louis,  et la Touraine passe alors sous la domination des  comtes d’Anjou.

 

1044Geoffroy Martel  Ier, comte d’Anjou et de Touraine. fils de Foulques Nerra ==> Généalogie, Famille de Foulques III Nerra d'Anjou

1060 – Geoffroy II, dit le Barbu, neveu de Geoffroy Martel.

GEOFFROY III, dit le Barbu, comte d'Anjou, et Foulques IV, dit le Réchin, fils de Geoffroy, comte de Château-Landon et de Joigny, et d'Ermengarde, succédèrent à leur oncle maternel, le comte Geoffroy II, dit Martel.

Geoffroy III observa, en 1060, le partage fait entre lui et son frère par leur oncle, et l'un et l'autre, d'abord unis d'intérêts, gagnèrent à Chef-boutonne, en 1061, une bataille décisive contre Guillaume VIII, duc d'Aquitaine, qui leur avait ravi la ville de Saintes ; mais le duc reprit cette place dès l'année suivante, après un long siège, dont le succès fut facilité par la mésintelligence qui empêcha les deux frères de la secourir à temps.

 Cette mésintelligence, toujours croissante, devint une sorte de guerre civile, qui tourna au profit du puîné, par les vexations que l'aîné se permit contre les chanoines de Saint-Martin et les moines de Marmoutier, et généralement contre le clergé, qui le rendirent odieux, le firent excommunier, et invitèrent Foulques à terminer le différend ; ce qui eut lieu en 1067, le 25 février, par l'occupation de la ville de Saumur, qui lui fut ouverte sans coup férir, ainsi que celle d'Angers, sa capitale , que des traîtres, massacrés le lendemain par le peuple, lui livrèrent le 4 avril suivant, avec la personne du comte Geoffroy, que son frère fit renfermer dans le château de Chinon, où il paraît être mort en 1108, sauf quelques légères interruptions de captivité indiquées par les écrivains contemporains.

 

1067 – Foulques IV le Réchin (1067-1109), -

FOULQUES le Réchin, né en 1043, et armé chevalier en 1060, eut pour lot, au partage entre lui et son frère Geoffroy III « le Barbu » les biens de son oncle maternel, Geoffroy II d'Anjou dit Geoffroy Martel.

Geoffroy, l'aîné, a la meilleure part : l'Anjou et la Touraine ; tandis que Foulques reçoit la Saintonge et la seigneurie de Vihiers.

Ne voulant se contenter de la seigneurie de Vihiers, il prend la tête de l'opposition baronniale contre son frère, lorsque celui-ci s'empêtre dans une dangereuse lutte contre le clergé. Il s'empare de Saumur le 25 février 1067, puis d'Angers, le 4 avril 1067, capture son frère et l'emprisonne.

Après sa victoire, Foulques IV le Réchin se proclame Comte d'Anjou et de Touraine le 19 juin 1068.

Pour se faire pardonner son usurpation, le Rechin céda le Gàtinais au roi de France Philippe 1er, et fit hommage de la Touraine au comte de Blois; mais il prit Le Lude et La Flèche sur Guillaume de NormandieFoulques IV, surnommé Réchin, par usurpation sur son frère.

 Geoffroy le Barbu, délivré de sa captivité, abandonne ses états à son neveu Geoffroy, fils de Foulques-Réchin. Après une courte réconciliation, le combat reprend, et Foulques capture, dépose et emprisonne son frère à Chinon.

 

Sa conduite envers Geoffroy III le fit excommunier jusqu'au 24 juin 1094, et lui attira, dès 1068, une guerre dans laquelle Guillaume VIII, duc d'Aquitaine, uni au roi de France, brûla Saumur, le 27 juin, et qui ne fut terminée qu'en désintéressant Philippe Ier par la cession de Château-Landon.

 

 En 1081, à la sollicitation du même monarque, il chassa Raoul, archevêque de Bourges, de son siège.

En 1098; il entreprit de s'emparer du Maine ; les barons de ce comté lui ouvrirent les portes du Mans ; mais le duc de Normandie s'étant présenté, dès le mois d'août, pour lui disputer cette possession, il y renonça, et rentra en guerre avec le duc d'Aquitaine; mais bientôt le roi les réconcilia.

Durant ce règne, disent les contemporains, la justice ne fut point rendue, les brigands pillèrent à qui mieux mieux, tout commerce devint impossible. Foulques fut obligé, pendant quelques années, de partager le gouvernement de ses Etats avec l'un de ses fils, qui s'était révolté. Sa femme, Bertrade de Montfort, l'abandonna pour épouser le roi Philippe 1er, puis vint finir ses jours dans un monastère angevin.

 

Il mourut le 14 avril 1109. Il épousa au moins quatre femmes :

1° en 1060, Hildegarde, fille de Lancelin II, seigneur de Beaugency, et d'Adelberge, son épouse.

Enfants : Ermengarde d'Anjou (mort en 1146), mariée à Guillaume IX, duc d'Aquitaine et comte de Poitiers , puis à Alain Fergent IV, duc de Bretagne .

 

2° en 1070, Hermengarde, fille d'Archambaut IV, sire de Bourbon, et de Philippe d'Auvergne, dont, il se sépara, en 1081, pour cause de parenté au quatrième degré, et remariée avec Guillaume, seigneur de Jaligny;

Enfant : Geoffroy IV Martel (mort en 1106), qui fut co-comte d'Anjou.

3° Epouse  le 21 janvier 1076, Arengarde de Chastillon (de Castellione), fille d'Isambert.   Il la répudie en 1080, et l'enferme dans le donjon de Beaumont-lès-Tours.

4° Epouse Bertrade de Montfort (morte en 1117), fille de Simon Ier, seigneur de Montfort et d'Agnès d'Évreux. Foulques et Bertrade eurent plusieurs garçons dont :

Enfant :    Foulques V « le Jeune »  comte d'Anjou, puis roi de Jérusalem.

 

1109 à 1129 - Foulques V d'Anjou, dit « le Jeune », né en 1092, mort le 10 ou le 13 novembre 1143 à Acre, fut comte d'Anjou et de Tours de 1109 à 1129, comte du Maine de 1110 à 1129.

 L'Anjou, la Touraine et le Maine furent réunis sous la suzeraineté de foulques V, fils du Réchin et de Bertrade, qui devint l'un des seigneurs les plus puissants de la France. Le roi Louis VI se l'attacha en lui conférant la charge de grand sénéchal du royaume.

Le roi d'Angleterre demanda, pour son fils Guillaume, la main de Mathilde, fille de Foulques; seul, le naufrage de la Blanche-Nef empêcha ce mariage.

Sur ces entrefaites, Foulques le Jeune partit en Palestine (1120), et combla de bienfaits l'ordre des Templiers, de fondation toute récente. Six ans plus tard, il accepta la succession de Baudouin II roi de Jérusalem, et épousa la fille de ce prince, Mélisende.

Avant de quitter définitivement l'Anjou, il assura la grandeur de sa maison en mariant son fils Geoffroy avec Mathilde, héritière du roi d'Angleterre (le mariage est célébré au Mans le 17 juin 1128).  

Le 31 mai 1128, Foulques prend la croix et, après une dernière visite à  Fontevrault où s’était retirée sa fille Mathilde, veuve de Guillaume Adelin, le comte d'Anjou Foulques V quitte la France en 1129 pour la Terre Sainte en abandonnant ses possessions françaises à son fils Geoffroy V Plantagenet.

==> Histoire de l'ordre de Malte (Ordre de Saint Jean de Jérusalem) - Foulques V d'Anjou, dit « le Jeune » roi de Jérusalem.

==> Mathilde d’Anjou, abbesse de L’abbaye de Fontevraud- Les Rencontres Imaginaires dans les pas d'Aliénor d’Aquitaine

1128 – Geoffroy V, dit le Bel, fils aîné de Foulques II. Il épouse Mathilde d’Angleterre, qui lui apporte le comté du Maine en mariage. Il meurt le 7 septembre 1151.

Ses deux fils, Henri duc de Normandie, de puis roi d’Angleterre, et Geoffroy, dit Plantagenet, se disputent la possession de l’Anjou, du Maine et de la Touraine. Geoffroy l’emporte.

1151 – Geoffroy V, dit Plantagenet. Il est dépouillé l’année suivante par son frère Henri.

1152Henri II, roi d’Angleterre, comte d’Anjou, du Maine et de la Touraine. Geoffroy meurt en 1159, et Henri en 1189.

1189Richard-Cœur-de-Lion, roi d’Angleterre, comte des trois provinces. Jean-Sans-Terre, son frère, s’empare des trois provinces en 1193. Il en est chassé et obtient son pardon de richard en 1194.

Le 6 avril 1199 Richard meurt. Le comté de Touraine ainsi que les deux autres sont disputés par Jean-sans-Terre à Artus son neveu, duc de Bretagne. (Récit de la mort de Richard Cœur de Lion d’après Roger de Hoveden.)

1199Artus, fils de Geoffroy II, roi d’Angleterre, légitime comte de Touraine. Il est assassiné par Jean-sans-Terre en 1203. La Touraine est confisqué sur Jean-sans-Terre par arrêt de la cour des Pairs de France, et réunie à la couronne par Philippe-Auguste en 1204.

 

Ducs Apanagistes de Touraine.

1328 – Jeanne de Bourgogne, reine de France, femme de Philippe de Valois. Quoique la Touraine ne fût encore considérée que comme comté, on voit par son contrat de mariage que Philippe lui assure pour son douaire le duché de Touraine, dont il donne ses lettres patentes, datées d’Arras au mois d’aout.

1346 – Philippe duc d’Orléans, second fils de Philippe de Valois. La reine Jeanne étant morte avant son mari, le douaire n’a pas lieu, et le roi donne la Touraine avec le titre de duché, en augmentation d’apanage à Philippe d’Orléans.

1360 – Philippe, quatrième fils du roi jean, depuis duc de Bourgogne, a pour apanage la Touraine, dont son prédécesseur portait déjà le titre de duc en 1356, mais dont l’érection ne se trouve plus à la chambre des comptes.

1363 – Charles, fils aînés du roi jean, obtient, en qualité de dauphin, la Touraine comme augmentation d’apanage. En conséquence, le roi la retire à Philippe par lettres patentes données à Saumur au mois de décembre.

Louis, troisième fils du roi Jean, par lettres patentes données au château du Golet le 18 avril 1364, obtient de son frère, devenu roi de France, la promesse du duché de Tours en augmentation d’apanage. Cette promesse est effectuée par les lettres patentes du mois de mai.

 

Louis Ier d’Anjou, roi de Sicile, fils du précédent, lui succède comme duc de Touraine, en 1384, et, par son testament, institue son fils Louis II héritier de ce même duché, malgré la clause de retour.

1386 – Louis III de France, fils du roi Charles V, et qui depuis duc d’Orléans, obtient le duché de Touraine, dont son frère Charles VI lui fait don par lettres patentes du mois de novembre 1386, sans avoir égard aux dispositions illégales du roi de Sicile, qui ne tendaient à rien moins qu’a rendre l’apanage héréditaire.

1401 – Jean, quatrième fils du roi Charles VI, obtient l’apanage du duché de Touraine, par lettre patentes du 16 juillet.

1416 – Charles, cinquième fils du roi Charles VI, depuis roi de France sous le nom de Charles VII, obtient le même apanage par lettres patentes données à Paris le 15 juillet.

Artus de Bretagne, comte de Richemont, connétable de France, porte le titre de duc de Touraine, dont l’investit en 1423 le duc de Betfort, se prétendant alors régent de la France.

1423 – Marie d’Anjou, reine de France, femme de Charles VII, sans égard à la domination du comte de Richemont, a pour douaire le duché de Touraine, par lettres patentes datées de Bourges le 27 mai.

1424 – Archibald ou Archembaut, comte de Douglas en Ecosse, obtient, comme récompense de ses services rendus à Charles VII en amenant des troupes à son secours, le duché de Touraine pour lui et ses descendants par lettres patentes datées de Bourges le 19 avril.

1424 – Louis d’Anjou, troisième du nom, fils ainé de Louis II, roi de Naples, a le duché de Touraine à titre d’engagiste, par lettre patentes expédiées à Angers le 21 octobre 1424, le comte de Douglas et son fils ayant été tues dans cette même année. Leurs successeurs dans le comté de douglas ayant été autorisés à porter seulement le titre de ducs de Touraine.

1547 – Jean Fitz-Salam, comte d’Arundel, prend le titre de duc de Touraine, en vertu du don que lui fait de l’apanage de cette province, vers l’an 1431, Henri VI , roi d’Angleterre, qui se disait roi de France.

1547 – Eléonore d’Autriche, femme du roi François Ier, a pour partie de son douaire le duché de Touraine.

1558 – Marie Stuart, reine de France et d’Ecosse, femme du roi François II, par son contrat de mariage du 19 juillet 1558, a pour douaire la Touraine, dont elle touche les revenus après avoir quitté la France, et quoique prisonnière à la tour de Londres, jusqu’à la catastrophe qui la fit périr sur l’échafaud.

1576 – François, cinquième fils du roi Henri II, connu sous le nom de duc d’Alençon, obtient le duché de Touraine comme augmentation d’apanage, par lettres patentes données au mois de mai 1576, au moyen d’un dédommagement accordé à Marie Stuart.

Depuis ce moment la Touraine ne fut plus l’apanage d’aucun prince de la famille royale. A la vérité, Louis XIV eut une fille naturelle, Louise-Marie-Anne, née en janvier 1676, qui fut appelée mademoiselle de Tours ; mais elle n’en eut que le nom, étant morte dans sa sixième année, le 15 septembre 1681.

 

 

 ==> Liste chronologique des souverains qui ont régné dans les principaux états du Moyen Age <==

Ducs d' Aquitaine et Comtes de Poitou et plus <==.... ....==>Liste des comtes et ducs d'Anjou - monument René d'Anjou - Angers

==> Voies romaines via Romana Cœsarodunum (Tours)

==> LES POSSESSIONS de Thibaut Ier de Blois (THIBAUD LE TRICHEUR)

 ==> Notice Historique sur le château de Tours

 


 

Carte des plus anciens châteaux de la Touraine

Visiter les châteaux de la Touraine, c'est, en faisant une charmante promenade, surprendre, en des exemples d'une beauté incomparable, toutes les transformations successives, qui, du château-fort édifié dans un but de pure défense, sont arrivées à faire la plus séduisante résidence de plaisance conçue par le génie d'un architecte.

 

COMTE, du latin comes - Histoire du titre

Ce titre était donné, dès le temps de la république romaine, aux tribuns, préfets et scribes qui accompagnaient les proconsuls, les propréteurs envoyés dans les provinces. Ils formaient ce qu'on appelait la cohors de ces magistrats. Auguste appelait de même tous les officiers de la maison impériale choisis dans les familles sénatoriales.

 

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